Le dernier film que vous avez vu

Pareil que pour les Comics, mais pour le cinéma et la télévision.
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Tommy
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Tommy »

Je m'étais décidé à écrire, pour moi, quelques avis sur les derniers films vus car la plupart s'estompent dans ma mémoire au fur et à mesure que j'en vois d'autres !

Du coup, je poste ici ces avis sur les films vus la semaine dernière ; je fais bref, voire expéditif, suivant les films. J'ai mis les titres français pour certains.

Roger & Me (1989) – Michael Moore
Les débuts de Moore dans le domaine du documentaire où il chercher à trouver « Roger », qui est le PDG de General Motors, responsable de la perte de plus de 8000 emplois dans la ville natale de Michael Moore. On y voit la ville se dégrader avec les fermetures d’usines de General Motors et le ton très mordant de Moore, cynique et incisif, qui devint sa marque de fabrique. Le sujet est bien sûr difficile, les gens étant expulsés de chez eux, vivant de rien, la ville natale de l’entreprise devenant une zone dangereuse et pauvre en l’espace de quelques années. 7/10

Spoorloos (1988) – George Sluizer
Un thriller assez particulier. Un couple néerlandais part en vacances en France et la fille disparaît sur une aire de repos sur l’autoroute. Pendant des années son conjoint cherche à la retrouver ou du moins à savoir ce qu’il s’est passé et reçoit régulièrement des invitations à rencontrer le supposé-criminel qui ne se montre jamais. S’ensuit toute une histoire qui, si elle est très intéressante, concluant sur une fin géniale, respire parfois l’artificiel. Je conseille. 7/10

Police Story (1985) – Jackie Chan
Un policier tente de mettre la main sur un mafieux, mais rien n’est simple. Jackie Chan nous livre ici ce qu’il sait faire le mieux : de l’action avec utilisation du décor dans les scènes de combat et de l’humour. Si les scènes d’action marchent toujours et restent impressionnantes, l’humour est parfois inefficace, un peu lourd, malgré quelques réussites. 6/10

Moonstruck (1987) – Norman Jewison
Cher et Nicolas Cage ensemble dans cette romance qui a permis à Cher de recevoir l’oscar de la meilleure actrice. Elle est très bien dans ce film, mais mon problème c’est que le film, lui-même, n’est pas bon. Outre les clichés habituels sur les Italiens, grossis par le prisme de Little Italy à NYC, outre l’histoire d’amour au premier regard, on a… Nicolas Cage qui ne parvient pas une seule seconde à convaincre. La fin est facile et si on ne passe pas un mauvais moment devant le film, on n’en passe pas un bon non plus. 4/10

The Big Red One (1980) – Samuel Fuller
Un groupe militaire « The Big Red One » d’américains pendant la Seconde guerre mondiale. On n’échappe pas au patriotisme habituel de ce genre de films même si, heureusement, on est loin des films plus récents où le drapeau américain se trouve partout. Le parti-pris est de prendre un groupe de soldat et de les suivre depuis le débarquement en Afrique du Nord jusqu’à la fin de la guerre. Bien sûr, on a le droit au débarquement en Sicile, en Normandie, à la libération des camps par un groupe de 5 increvables dans ce film pot-pourri qui n’arrive pas à engager le spectateur dans les scènes à cause de leur superficialité et du manque d’engagement dramatique. En voulant tout faire, il n’y a plus grand-chose. Ca se regarde distraitement. 4/10

The Long Good Friday (1980) – John Mackenzie
Un film anglais de mafieux. C’est « sympathique » à regarder, il y a des trouvailles, mais c’est typiquement le film facile à voir et facile à oublier. 5/10

Nostalgie de la lumière (2010) – Patricio Guzman
Un documentaire chilien sur un désert où des astronomes ont installé des télescopes grâce à la vision exceptionnelle du ciel que l’on a de cet endroit (et c’est exceptionnel à voir dans le documentaire). Cela permet au réalisateur de comparer ces chercheurs du ciel à ceux de la terre, toujours dans le même désert ; d’abord avec un archéologue qui travaille sur les vestiges (notamment picturaux et sculpturaux) des nomades précolombiens mais ensuite, surtout, sur un groupe de femmes à la recherche des ossements de leurs proches. Ce désert a abrité un camp de prisonniers de Pinochet où beaucoup ont été fusillés. Quand Pinochet a perdu le référendum, il a fait en sorte de se débarrasser des corps dans les charniers ; pour la plupart seuls des fragments d’os, négligés au moment de la disposition des corps, ont été retrouvés. Les autres ont sûrement été largués en mer. Le documentaire est fascinant, simple, laissant la parole aux différentes personnes avec une photographie magnifique. 8/10

Les sans-espoir (1966) – Miklos Jancso
Dans la Hongrie du XIXe siècle, des prisonniers, anciens rebelles contre le pouvoir central d’Autriche-Hongrie, tentent de survivre. Un film de propagande communiste avec une exaltation de ces rebelles qui sont certes des meurtriers, mais « c’est pas pareil ». C’est pas nul, mais non seulement l’histoire n’est pas extraordinaire, la propagande un peu grossière, mais en plus la photographie et la mise en scène ne m’ont pas emballé. C’était pas mauvais. Zou, 5/10

Synecdoche, New York (2008) – Charlie Kaufman
Un réalisateur de théâtre dont la vie tombe en ruines en même temps que sa santé et que… l’espace-temps. C’est un film très bizarre à cause de l’écrasement temporel et du surréalisme permanent. Philip Seymour Hoffman est consistant et offre une belle prestation ; certains dialogues (voire monologues) sont particulièrement pertinents (le monologue du « curé » lors du faux-enterrement en fin de film vaut son pesant d’or). Malheureusement, je trouve que la bizarrerie particulière du film est son propre fardeau : elle est nécessaire, mais elle empêche le film, pour moi, d’être un grand film. 6/10

Hôtel Terminus (1988) – Marcel Ophüls
Ce très long documentaire (près de 4h30) retrace le parcours de Klaus Barbie alors que ce dernier vient de perdre son procès pour crimes contre l’humanité. Ophüls part en Allemagne, France, Amérique Latine, afin de comprendre comment cet homme, en charge de la Gestapo de Lyon, responsable de la mort de Jean Moulin et de la déportation d’enfants vers les camps de la mort, a pu rester tranquillement dans la nature pendant 40 ans. Travaillant dès la fin de la guerre pour les services secrets américains, puis ami des dictateurs sud-américains, Klaus Barbie a eu une vie tranquille et n’était même pas traqué par la France jusqu’à ce que les Klarsfeld interviennent. Un documentaire historique, donc, mais qui manque de clarté, d’esprit de synthèse et qui aurait peut-être mérité qu’Ophüls intervienne moins personnellement. 6/10

Xala (1975) – Ousmane Sembene

Un homme d’affaires sénégalais, juste après l’indépendance, détourne des biens pour se payer un mariage avec une troisième épouse. Mais il est « maudit » et reçoit le « xala », c’est-à-dire une malédiction d’impuissance. Un film engagé d’Ousmane Sembene, comme on a pu le voir dans d’autres de ses réalisations. La critique de ses compatriotes, qui agissent exactement de la même manière que les Français colonisateurs envers leur propre peuple, est acerbe. En effet, les hommes d’affaires, qui ne jurent que par les produits européens, les vêtements européens, ne parlent que français entre eux et critiquent même « les nègres » montrent que la décolonisation n’a pas pour résultat le fantasme révolutionnaire que certains avaient. Le message est donc assez universel surtout qu’il est couplé aux échanges entre le père et la fille, les scènes tribales/citadines renvoyant donc au thème d’un passage plus ou moins voulu entre la tradition et une sorte de modernité. Un film particulièrement intéressant dont le seul défaut serait pour moi le jeu de certains acteurs (forcément amateurs) et certaines lignes de dialogues qui auraient mérité être davantage travaillées pour sembler naturelles. 7/10

Gummo (1997) – Harmony Korine
Un film sans véritable histoire sur une ville très pauvre des Etats-Unis quelques temps après le passage d’un ouragan. Le film se centre sur ceux que les américains appellent de manière très insultante les « white trash », ces Blancs pauvres, en marge des villes, qui survivent plus ou moins légalement dans une grande misère. C’est cette misère et surtout ce désœuvrement qui marquent le spectateur suivant essentiellement deux ados qui tuent des chats errants contre quelques dollars. La saleté, l’absence de but, de moyens et d’espoir, les visages marqués et laids se succèdent dans de brèves scènes crues. Le manque de cohérence narrative nuit peut-être à l’enthousiasme qu’on aurait pu avoir, surtout après la première scène grandiose sur le pont. 7/10

Titicut Follies (1967) – Frederick Wiseman
Il s’agit d’un documentaire qui se déroule dans une prison pour délinquants/criminels atteints de troubles psychiatriques, le titre vient d’un spectacle qui est fait sur place et renvoie aux comédies musicales classiques de Broadway en plus du terme « Follies » tout à fait « approprié » pour ce documentaire. Le film a été censuré à sa sortie, les tribunaux prétextant une atteinte à la vie privée (toutes les personnes avaient signé une autorisation), et ne fut autorisé que 24 ans après.
Le documentaire a beaucoup de points forts, montrant simplement les conditions de détention de patients/criminels, parfois gravement atteints que les gardes ridiculisent, laissent nus dans des cellules glacées, etc. Ces gens sont laissés à l’abandon, mal traités par des psychiatres qui se moquent d’eux durant les « séances » qui ressemblent davantage à des dîners de cons. D’autres encore ont des questions absurdes. Malheureusement, la recherche du « cinéma vérité » dans ce cas pose un certain nombre de problèmes puisqu’on a parfois des images peu compréhensibles (les Titicut Follies sont-elles faites par les patients, les gardes ou tous ?) et un montage assez habile mais qui fictionnalise les situations.
On gardera quand même en mémoire quelques scènes affreuses. Un garde à qui l’on apprend qu’un patient est décédé : « C’est juste un suicide. » et la scène surréaliste où un pédophile confesse d’anciens crimes sur des fillettes à un psychiatre qui ne trouve comme questions que « elle faisait plus vieille que son âge ? » ou encore « Vous avez probablement eu des relations avec des hommes, non ? » cette dernière question apparaissant après que l’homme a confié avoir violé sa propre fille. Un film qui est en soi une critique de la situation carcérale américaine et avant tout une critique des soins psychiatres dans un pays dit « civilisé ». 7/10

Vers sa destinée (1939) – John Ford
Le titre original traduit devrait être « Le jeune M. Lincoln » et, en effet, il s’agit d’un parcours antérieur (totalement romancé) à celui qui devint bien après le président des Etats-Unis. Ce film se penche sur Lincoln choisissant le droit, devenant on-ne-sait-comment avocat et participant à son premier procès pour meurtre.
Le film a beaucoup d’atouts. John Ford sait y faire tant pour le rythme, pour la mise en scène, pour l’image (il joue sur les ombres dans certains plans afin de marquer ce qui sera la barbe « connue » de Lincoln qui est rasé de près dans le film) et Henry Fonda en rôle principal !
Malgré cela, les blagues incessantes, les remarques pleines « d’esprit », les discours mielleux et la mythification de Lincoln en surhomme sont des points noirs importants. Il faut presque regarder le film en oubliant qu’il s’agit d’Abraham Lincoln et apprécier simplement un film sur un jeune homme qui devient avocat et défend deux accusés. 6/10
urbanvspanini10 a écrit : Tommy avait raison.
Resendes a écrit : Tommy avait raison !
Parademon a écrit :Tommy avait raison
Alakazou a écrit : Tommy avait raison
Vittorini a écrit :Tommy avait donc raison
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Mocassin
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Mocassin »

Soul. Chef-d'œuvre. Purée.
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Audoucet
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Audoucet »

Mocassin a écrit : 26 déc. 2020 00:33 Soul. Chef-d'œuvre. Purée.
Oui, très bon film.
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Sh@dow
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Sh@dow »

Comme Audoucet, très bon film voir excellent ! Mais chef-d'oeuvre ? Point trop n'en faut !
Modifié en dernier par Sh@dow le 26 déc. 2020 17:50, modifié 1 fois.
Mon dieu, c'est dingue... On ne voit pas le temps passer. Quand tu es arrivé, tu avais une heure. Maintenant tu as moins !
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Tommy
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Tommy »

Pas vu "Soul" (je n'en avais même pas entendu parler), mais faut dire que je m'intéresse pas vraiment à l'animation. A l'occasion, ceci dit ! ^^

Quelques films vus cette semaine :
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Génération rebelle (1993) – Richard Linklater
Des élèves célèbrent le dernier jour du lycée, dans une ville américaine en 1976. C’est un film sans réel premier rôle, à part le collégien qui doit passer au lycée l’an dernier et qui est probablement celui dont l’histoire est la plus centrale. Ces jeunes gens s’amusent, bizutent, boivent, fument et couchent dans une ambiance assez libre et insouciante. Certains gags marchent, d’autres moins et les personnages ont un peu de mal à capter l’attention d’une audience qui passe de l’un à l’autre et qui remarque essentiellement, si vous le voyez en 2020, quelques acteurs devenus célèbre comme Matthew McConaughey, Ben Affleck ou Milla Jovovich. C’est un film plaisant qui s’inscrit bien dans l’esprit des années 90 tout en se passant 15 ans auparavant. 6/10

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Nouvelle Vague (1990) – Jean-Luc Godard
En décembre, j’ai vu trois films de Godard ; celui-ci, « Passion » et « Sauve qui peut(la vie) ». Ces derniers sont antérieurs à Nouvelle Vague (ils datent des années 80). Bref. Malgré la présence d’Alain Delon, on ne peut que constater que « Nouvelle Vague » est une sorte de variation des deux films cités plus haut. L’impression de pouvoir échanger aléatoirement les scènes de ces trois films sans sourciller est forte. Toutes les techniques de Godard, qui à force deviennent des tics, sont présentes. Le son monte puis descend, les dialogues sont coupés par la musique ou un bruit de fond qui passe au premier plan ce qui n’est pas forcément gênant puisque les dialogues n’ont aucun intérêt. Quelques plans intéressants ne suffisent pas à sauver le spectateur de l’agacement et de l’ennui procurés par cette œuvre vaine. 2/10

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The Prom (2020) – Ryan Murphy
Une comédie musicale avec Nicole Kidman, Meryl Streep et… James Corden (présentateur de talk show). Ryan Murphy est connu pour certaines œuvres très colorées et très gay (Hollywood ou encore The Politician) qui font les beaux jours de Netflix ; ce film n’échappe pas à cette règle et la patte de Murphy est partout, ce qui a le mérite d’en faire un réalisateur qui se distingue par sa personnalité. Dans le cas présent, des acteurs de Broadway à la ramasse, égocentriques, décident de faire une bonne action pour regonfler leur image en allant à la rescousse d’une lycéenne, lesbienne, qui voulant inviter une fille au bal de fin d’année voit ce dernier annulé.
L’histoire est assez banale dans le fond, mais la perspective LGBT omniprésente n’est possible que grâce au succès de Murphy et au financement par Netflix (les grands studios pour salles ne l’auraient pas fait). Mais une fois passée cette originalité… le reste en manque cruellement. L’alchimie entre les acteurs n’est pas là, et si James Corden se débrouille bien, ses numéros musicaux sont très faibles. En général d’ailleurs, les numéros musicaux, relativement honnêtes, manquent d’ampleur et de détails ; les chansons ne sont pas marquantes. Les personnages eux-mêmes sont assez prévisibles et superficiels. Malgré ces défauts majeurs qui empêchent le film d’être une bonne comédie musicale, le résultat est divertissant. 4/10

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Crash (1996) – David Cronenberg
Suite à un accident de voiture, un réalisateur découvre un petit groupe composé de survivants à ce type d’accident qui érotise et même fétichise ces situations. C’est un film qui peut paraître dérangeant par de nombreux aspects avec un érotisme permanent qui tourne autour des accidents et des blessures. C’est un film à la musique transformée en ritournelle obsessive, en pulsions sexuelles, filmée avec un teint blafard.
Crash marche à tous les niveaux. La musique vous absorbe, l’érotisme vous entraîne dans les recoins de ce fétichisme au point de presque vous oppresser. La nudité féminine est omniprésente et si Cronenberg s’essaie même à montrer une relation homosexuelle (avant tout fétichiste et au-delà des "catégories" classiques), il a plus de mal à montrer la nudité masculine.
Un film absolument réussi. 8/10
urbanvspanini10 a écrit : Tommy avait raison.
Resendes a écrit : Tommy avait raison !
Parademon a écrit :Tommy avait raison
Alakazou a écrit : Tommy avait raison
Vittorini a écrit :Tommy avait donc raison
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Audoucet
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Audoucet »

Sh@dow a écrit : 26 déc. 2020 16:19 Comme Audoucet, très bon film voir excellent ! Mais chef-d'oeuvre ? Point trop n'en faut !
J'ai pas voulu faire polémique, mais oui, très bon film, mais pas chef-d'œuvre.
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Tommy
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Tommy »

Pour fêter la fin de 2020, j'ai fait un top 50 des films que j'ai préféré cette année (films sortis à n'importe quelle période).
Si ça peut donner des idées de visionnage : https://www.senscritique.com/liste/Top_ ... 20/2911290
urbanvspanini10 a écrit : Tommy avait raison.
Resendes a écrit : Tommy avait raison !
Parademon a écrit :Tommy avait raison
Alakazou a écrit : Tommy avait raison
Vittorini a écrit :Tommy avait donc raison
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Resendes »

Vu Nocturnal Animals ce soir..
Je parlerrarement de mes visionnage ou découvertes ciné mais bordel.. La réalisation est excellente, le casting et notamment Amy Adams et Jake Gyllenhaal est parfait et cette atmosphère hyper déprimante et glauque avec une tension parfaitement gérée .. Une véritable pépite dont on ne sort pas indemne..

Ah et mention spéciale à la VF de Amy Adams qui change et même si j'ai eu du mal à accepter je trouve que ça colle parfaitement et la voix à un timbre que j'aime beaucoup.
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Parademon
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Parademon »

La scène en voiture qui n'en finit pas... Vraiment excellent car tu es super mal à l'aise et en même temps fasciné. La musique est excellente.
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Mocassin
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Re: Le dernier film que vous avez vu

Message par Mocassin »

Je me souviens à peine de ce film, si ce n'est sa scène découverte assez... spéciale. Mais j'avais bien aimé, faudrait que je me le revois !
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