[URBAN INDIES] Black Beetle
[URBAN INDIES] Black Beetle
Scénario: Francavilla Francesco – Dessin: Francavilla Francesco
1941. Les postes radios américains crépitent au son du jazz et de l’annonce des récentes victoires militaires d’Hitler. Alors que la nation toute entière profite de ses derniers instants d’insouciance, les gangsters de Colt City bâtissent leur empire sur le racket de night-clubs, le trafic d’armes, la prostitution et la drogue, à peine inquiétés par une police corrompue. Mais au-delà de ces trafics, un mal plus sournois rôde… On murmure qu’une faction d’espions nazis serait sur la piste de puissants artefacts. Depuis les hauteurs de la ville, un protecteur veille. Son nom : Black Beetle.
– Contenu : Black Beetle #0, Black Beetle #1-4.
Public: Ado-adulte – à partir de 12 ans
Genre: Action,Polar / Thriller,Super-héros
Collection: Urban Indies
Date de sortie: 10 janvier 2014
Pagination: 160 pages
ISBN: 9782365773706
Format:
Prix: 15.00 €
La Preview: http://www.urban-comics.com/black-beetle-tome-1/
Pas vu de sujet sur ce titre qui est pour moi un sacré coup de coeur, une ambiance à la Batman et un style tres retro et un dessin MAGNIFIQUE, une ambiance serial pulp pour ce hero hors norme durant la guerre...
- Baccano
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Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Oh oui, c'est du très bon, même si j'en avais pas douté une seule seconde avec Francavilla.
L'une des meilleures sortie comics de cette année en France.
L'une des meilleures sortie comics de cette année en France.
Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
à ce point la ! J'avais simplement vu le bestiau à la fnac, j'aimais beaucoup les dessins et l'ambiance mais je ne savais pas ce que ça valait en terme de scénario, donc d'après baccano il faut que je revois ma liste d'achat ^^
- TheRiddler
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Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
J'ai bien aimé, tres nerveux et soutenu par des planches incroyables. Après, j'ai l'impression que le cadre 40's est un peu prétexte pour booster les ventes. Quand les gens parlent d'ambiance "pulp" je me demande où ils vont chercher ça, on est bien plus proche du ton des Batman modernes, jusqu'au villain qu'on croirait tout droit sorti de la Bat-galerie.
- Freytaw
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Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Batman est aussi parfois considéré comme un héro "pulp"
Mais je n'ai pas lu cette histoire, donc je parle dans le vide xD
Mais je n'ai pas lu cette histoire, donc je parle dans le vide xD
Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
heureux de voir d'autres adeptes de ce comics qui rappelons le est entierement fait, du scenar au dessin par Francavilla
de plus j'ai senti comme un petit coté ambiance à la the rocketeer se melangeant à indiana jones.
Vivement la suite...
de plus j'ai senti comme un petit coté ambiance à la the rocketeer se melangeant à indiana jones.
Vivement la suite...
- Baccano
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Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Franchement hésite pas une seconde. Après c'est le genre de comics que j'aime particulièrement, c'est un style, ça plait pas à tout le monde. Même si Francavilla fait tout de même assez consensus faut dire.Bathom-04 a écrit :à ce point la ! J'avais simplement vu le bestiau à la fnac, j'aimais beaucoup les dessins et l'ambiance mais je ne savais pas ce que ça valait en terme de scénario, donc d'après baccano il faut que je revois ma liste d'achat ^^
Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Lu et même dévoré^^
Soyons honnête, The Black Beetle n’était clairement pas un titre que j’attendais particulièrement. Non pas car il ne me faisait pas envie, mais tout simplement parce je ne connaissais absolument pas ce héros. Mais plusieurs choses m’ont poussé à laisser aller, encore une fois, ma curiosité. Déjà je suis assez friand du label Urban Indies, ensuite, Francesco Francavilla au scénario et au dessin, enfin, l’annonce de replonger dans les vieux pulp’s d’antan. Il n’en fallait pas plus pour finir me convaincre de tenter l’aventure Black Beetle ! Et quelle bonne idée j’ai eu !
1941. Les postes radios américains crépitent au son du jazz et de l’annonce des récentes victoires militaires d’Hitler. Alors que la nation toute entière profite de ses derniers instants d’insouciance, les gangsters de Colt City bâtissent leur empire sur le racket de night-clubs, le trafic d’armes, la prostitution et la drogue, à peine inquiétés par une police corrompue. Mais au-delà de ces trafics, un mal plus sournois rôde… On murmure qu’une faction d’espions nazis serait sur la piste de puissants artefacts. Depuis les hauteurs de la ville, un protecteur veille. Son nom : Black Beetle. (Contenu : Black Beetle #0, Black Beetle #1-4.)
D’emblée, la première chose marquante dans ce comics, c’est la qualité des dessins de Francesco Francavilla ! Je suis fan de l’artiste et il nous offre ici un merveilleux éventail des ses qualités. Même si j’émettrais un tout petit reproche sur sa trop grande utilisation du jaune-orangé, omniprésent de temps en temps sur certaines pages. On ressent bien l’atmosphère des vieux pulp’s d’époque, une ambiance très sombre, parfois glauque, oppressante par moment. Une action magnifiquement bien rendue avec une mise en page subtiles. Alternances de grandes et petites cases, des pages en épis, en entonnoir. Fan des doubles pages en forme de pièces de puzzle pour montrer la réflexion du héros. Encore une fois c’est un travail sans faute de Francavilla. Peut-être encore plus beau que d’habitude, encore plus en adéquation avec l’histoire vu qu’il signe aussi le scénario.
Au niveau scénario, pour les clins d’œil au vieux pulp’s américain, c’est quasiment parfait. Une ambiance polar omniprésente, des nazis avec de la haute technologie et un brin d’archéologie égyptienne à la Indiana Jones, des méchants avec des tronches de mafieux à la Tony Montana ou Vito Corleone, de belles femmes et un héros dont l’identité restera secrète tout au long de l’ouvrage, le tout au cœur des années 40, un fond sous forme de jazz, et c’est bon nous y sommes ! Le style graphique de Francavilla en rajoute davantage, tout comme ses affiches rappelant les vieux polars. Titres façon rétros, onomatopées à l’ancienne, rien n’est oublié.
Nous suivons les aventures de Black Beetle. Alors qu’il s’apprêtait à alpaguer toute une brochette des plus grands chefs de famille de Colt City, il se fait devancer par un énigmatique personnage au costume rappelant un labyrinthe. Ce dernier ne se contentant pas de les arrêter, non il va carrément les faire exploser. S’ensuit alors une course poursuite entre le héros et l’énigmatique ennemi au cours d’une enquête dans les bas fonds de Colt City, où seule mafia règne, dans des vieux cabarets où le jazz inonde nos oreilles et la fumée des cigares noie nos narines. Black Beetle va rassembler les indices, creuser là où il ne devrait pas, tomber dans des traquenards, toujours en restant dans l’ombre.
L’ombre omniprésente dans le titre, Francavilla effectuant un travail merveilleux avec. Renforçant encore davantage l’effet d’oppression, et donnant encore plus d’impact aux surprises. Le trait est tellement épuré.
Alors que Black Beetle mène son enquête comme dans un bon vieux polar, l’histoire est de temps à autre entrecoupée d’une page parlant de tout autre chose. Un mystérieux individu cherche à retrouver Black Beetle, ce dernier ayant empêché son équipe d’élite de nazis de dérober un artefact lié à la magie noire au muséum d’histoires naturelles. Un objet considéré comme le Graal dans la magie noire. Le lézard creux ! Objet que Black Beetle semble lui aussi vouloir utiliser… Toujours intéressant d’avoir un fil rouge en trame de fond.
Histoire passionnante, ambiance captivante, Francavilla nous offre un récit pratiquement parfait en tout point. D’entrée, grâce à l’introduction de Darwyn Cooke, on pouvait s’attendre à un hommage réussi aux vieux pulp’s de la part de l’auteur. Il ne voulait travailler que dans cette optique.
Bref, Black Beetle est une merveilleuse découverte. Une véritable plongée dans les pulp’s des années 40. Un vibrant hommage des plus réussis de la part de Francavilla à un style narratif et artistique tellement prenant.
Soyons honnête, The Black Beetle n’était clairement pas un titre que j’attendais particulièrement. Non pas car il ne me faisait pas envie, mais tout simplement parce je ne connaissais absolument pas ce héros. Mais plusieurs choses m’ont poussé à laisser aller, encore une fois, ma curiosité. Déjà je suis assez friand du label Urban Indies, ensuite, Francesco Francavilla au scénario et au dessin, enfin, l’annonce de replonger dans les vieux pulp’s d’antan. Il n’en fallait pas plus pour finir me convaincre de tenter l’aventure Black Beetle ! Et quelle bonne idée j’ai eu !
1941. Les postes radios américains crépitent au son du jazz et de l’annonce des récentes victoires militaires d’Hitler. Alors que la nation toute entière profite de ses derniers instants d’insouciance, les gangsters de Colt City bâtissent leur empire sur le racket de night-clubs, le trafic d’armes, la prostitution et la drogue, à peine inquiétés par une police corrompue. Mais au-delà de ces trafics, un mal plus sournois rôde… On murmure qu’une faction d’espions nazis serait sur la piste de puissants artefacts. Depuis les hauteurs de la ville, un protecteur veille. Son nom : Black Beetle. (Contenu : Black Beetle #0, Black Beetle #1-4.)
D’emblée, la première chose marquante dans ce comics, c’est la qualité des dessins de Francesco Francavilla ! Je suis fan de l’artiste et il nous offre ici un merveilleux éventail des ses qualités. Même si j’émettrais un tout petit reproche sur sa trop grande utilisation du jaune-orangé, omniprésent de temps en temps sur certaines pages. On ressent bien l’atmosphère des vieux pulp’s d’époque, une ambiance très sombre, parfois glauque, oppressante par moment. Une action magnifiquement bien rendue avec une mise en page subtiles. Alternances de grandes et petites cases, des pages en épis, en entonnoir. Fan des doubles pages en forme de pièces de puzzle pour montrer la réflexion du héros. Encore une fois c’est un travail sans faute de Francavilla. Peut-être encore plus beau que d’habitude, encore plus en adéquation avec l’histoire vu qu’il signe aussi le scénario.
Au niveau scénario, pour les clins d’œil au vieux pulp’s américain, c’est quasiment parfait. Une ambiance polar omniprésente, des nazis avec de la haute technologie et un brin d’archéologie égyptienne à la Indiana Jones, des méchants avec des tronches de mafieux à la Tony Montana ou Vito Corleone, de belles femmes et un héros dont l’identité restera secrète tout au long de l’ouvrage, le tout au cœur des années 40, un fond sous forme de jazz, et c’est bon nous y sommes ! Le style graphique de Francavilla en rajoute davantage, tout comme ses affiches rappelant les vieux polars. Titres façon rétros, onomatopées à l’ancienne, rien n’est oublié.
Nous suivons les aventures de Black Beetle. Alors qu’il s’apprêtait à alpaguer toute une brochette des plus grands chefs de famille de Colt City, il se fait devancer par un énigmatique personnage au costume rappelant un labyrinthe. Ce dernier ne se contentant pas de les arrêter, non il va carrément les faire exploser. S’ensuit alors une course poursuite entre le héros et l’énigmatique ennemi au cours d’une enquête dans les bas fonds de Colt City, où seule mafia règne, dans des vieux cabarets où le jazz inonde nos oreilles et la fumée des cigares noie nos narines. Black Beetle va rassembler les indices, creuser là où il ne devrait pas, tomber dans des traquenards, toujours en restant dans l’ombre.
L’ombre omniprésente dans le titre, Francavilla effectuant un travail merveilleux avec. Renforçant encore davantage l’effet d’oppression, et donnant encore plus d’impact aux surprises. Le trait est tellement épuré.
Alors que Black Beetle mène son enquête comme dans un bon vieux polar, l’histoire est de temps à autre entrecoupée d’une page parlant de tout autre chose. Un mystérieux individu cherche à retrouver Black Beetle, ce dernier ayant empêché son équipe d’élite de nazis de dérober un artefact lié à la magie noire au muséum d’histoires naturelles. Un objet considéré comme le Graal dans la magie noire. Le lézard creux ! Objet que Black Beetle semble lui aussi vouloir utiliser… Toujours intéressant d’avoir un fil rouge en trame de fond.
Histoire passionnante, ambiance captivante, Francavilla nous offre un récit pratiquement parfait en tout point. D’entrée, grâce à l’introduction de Darwyn Cooke, on pouvait s’attendre à un hommage réussi aux vieux pulp’s de la part de l’auteur. Il ne voulait travailler que dans cette optique.
Bref, Black Beetle est une merveilleuse découverte. Une véritable plongée dans les pulp’s des années 40. Un vibrant hommage des plus réussis de la part de Francavilla à un style narratif et artistique tellement prenant.
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Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Haaa content que ça te plaise Biggy!
Re: [URBAN INDIES] Black Beetle
Ahhhh vous me donnez envie je pense le prendre le mois prochain ^^.