Justice League Infinity #3, c’est très très dense, à tel point que j’ai pas lu tout d’une traite, surtout très verbeux, mais vraiment passionnant à lire.
Ce qui change ici, c’est le narrateur : on a le droit à une Loïs Lane observatrice, incisive et surtout lyrique.
Le numéro se montre assez ambitieux puisqu’il nous traîne dans tous les coins et recoins du Multiverse du Timmverse. Earth-D, Earth-X, Earth-Prime, Earth-Darkseid (?), on voit du pays et on ne s’ennuie pas devant des visions si familières et pourtant si différentes.
Gros coup de cœur aussi pour les petites subtilités qu’on voit çà-et-là : entre la relation de Shayara et John ou les réactions de Batman suite à la disparition de Diana, il y a énormément de choses à grignoter dans chaque page, et dans chaque panel.
Maintenant que l’intrigue est bien en place, on entre dans le cœur du problème et je suis très curieux de voir comment ça va se goupiller et si on va revenir sur la place atypique qu’occupe le Martian Manhunter dans tout ça.
Toujours top tout ça.
Justice League Infinity (2021)
- Vittorini
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Re: Justice League Infinity (2021)
Après Bruciana, le Darksiana
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Re: Justice League Infinity (2021)
Issue #4 très perturbante.
Trop verbeuse, trop lourde, on passe plus de temps à décortiquer le texte qu’à admirer tout le boulot derrière mais force est de constater que, au mois, y a de quoi bouffer.
Le travail sur la continuité avec la série est jusque là irréprochable, et j’irai même jusqu’à dire que ça ajoute énormément à mon appréciation de JLTAS.
Je suis aussi bluffé par la capacité de JMD à nous faire ressentir autant de compassion pour Darkseid. Je suis pas entièrement fan de ce portrait, mais ça marche quand même extrêmement bien et offre de magnifiques scènes.
Vraiment une bonne pioche malgré le style presque indigeste.
Trop verbeuse, trop lourde, on passe plus de temps à décortiquer le texte qu’à admirer tout le boulot derrière mais force est de constater que, au mois, y a de quoi bouffer.
Le travail sur la continuité avec la série est jusque là irréprochable, et j’irai même jusqu’à dire que ça ajoute énormément à mon appréciation de JLTAS.
Je suis aussi bluffé par la capacité de JMD à nous faire ressentir autant de compassion pour Darkseid. Je suis pas entièrement fan de ce portrait, mais ça marche quand même extrêmement bien et offre de magnifiques scènes.
Vraiment une bonne pioche malgré le style presque indigeste.