Alors c'est aussi parce que le comics passe de 5$ à 6$ si l'on prend une des variant covers ...
Justice League Infinity (2021)
Re: Justice League Infinity (2021)
Vittorini a écrit : likes ce messageOk là je me couche.mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ?
Re: Justice League Infinity (2021)
Effectivement, c'était l'origine de mon erreur
- Vittorini
- Super Légende
- Messages : 23706
- Enregistré le : 03 févr. 2013 17:13
- Localisation : Lille
- Contact :
Re: Justice League Infinity (2021)
La. Vache.
https://comicbookdispatch.com/justice-l ... 1-preview/
Il prend pas son job par dessus la jambe le DeMatteis.
https://comicbookdispatch.com/justice-l ... 1-preview/
Il prend pas son job par dessus la jambe le DeMatteis.
- Vittorini
- Super Légende
- Messages : 23706
- Enregistré le : 03 févr. 2013 17:13
- Localisation : Lille
- Contact :
Re: Justice League Infinity (2021)
Je vais pas y aller par quatre chemins : Justice League Infinity est le meilleur titre Justice League du moment, même Last Ride pourtant écrit par le talentueux Zdarsky.
C’est terriblement dense, on suit pas moins de 4 intrigues différentes dans ce numéro sans jamais s’ennuyer, sans jamais ressentir le sentiment d’être face à un récit brouillon et sans jamais être submergé par la somme d’éléments.
Qu’il s’agisse de la quête d’Amazo, de l’étrange démission de Manhunter, de la guerre civile sur Apokolips ou encore le dérèglement du Multiverse ou de l’Hypertime, rien n’est à jeter et j’aime énormément les questions que soulèvent DeMatteis, à la fois sur les personnages avec lesquels il joue, mais aussi sur le comic book en lui-même et ses poncifs narratifs. Promettant, à demi-mot, un traitement inédit, pour ne pas dire subversif …
En terme de tonalité, c’est tout aussi varié puisqu’on a un large panel de situation, allant de scènes joviales et à métaphysiques et psychédéliques, tout en incorporant çà-et-là un vrai sens du danger qui guette la JLA.
Pour ce qui est de l’écriture pure et dure, je suis très impressionné par l’étonnante forme de DeMatteis : jeux sémantiques, traction avec la continuité de JLU, clins d’œil à foison sur l’ensemble du mythos DC, les qualités ne manquent pas et il y a énormément de choses à manger dans ce numéro, à tel point que je l’ai relu plusieurs fois.
Je n’en oublie pas Tucker, à qui l’on doit d’avoir un bouquin esthétiquement irréprochable. Son Flash et son Batman sont à tomber par Terre, de même pour son Superman et on a vraiment l’impression de regarder un épisode de la série, avec ce petit supplément d’âme qui apporte un réel charme à ce numéro.
Je ne pensais pas aimer autant, mais JLI est une pure merveille.
C’est terriblement dense, on suit pas moins de 4 intrigues différentes dans ce numéro sans jamais s’ennuyer, sans jamais ressentir le sentiment d’être face à un récit brouillon et sans jamais être submergé par la somme d’éléments.
Qu’il s’agisse de la quête d’Amazo, de l’étrange démission de Manhunter, de la guerre civile sur Apokolips ou encore le dérèglement du Multiverse ou de l’Hypertime, rien n’est à jeter et j’aime énormément les questions que soulèvent DeMatteis, à la fois sur les personnages avec lesquels il joue, mais aussi sur le comic book en lui-même et ses poncifs narratifs. Promettant, à demi-mot, un traitement inédit, pour ne pas dire subversif …
En terme de tonalité, c’est tout aussi varié puisqu’on a un large panel de situation, allant de scènes joviales et à métaphysiques et psychédéliques, tout en incorporant çà-et-là un vrai sens du danger qui guette la JLA.
Pour ce qui est de l’écriture pure et dure, je suis très impressionné par l’étonnante forme de DeMatteis : jeux sémantiques, traction avec la continuité de JLU, clins d’œil à foison sur l’ensemble du mythos DC, les qualités ne manquent pas et il y a énormément de choses à manger dans ce numéro, à tel point que je l’ai relu plusieurs fois.
Je n’en oublie pas Tucker, à qui l’on doit d’avoir un bouquin esthétiquement irréprochable. Son Flash et son Batman sont à tomber par Terre, de même pour son Superman et on a vraiment l’impression de regarder un épisode de la série, avec ce petit supplément d’âme qui apporte un réel charme à ce numéro.
Je ne pensais pas aimer autant, mais JLI est une pure merveille.
Re: Justice League Infinity (2021)
Tu vends bien le titre !
Re: Justice League Infinity (2021)
Pareil ! J'espère une VF par Urban mais je vais peut-être soutenir le titre
- Vittorini
- Super Légende
- Messages : 23706
- Enregistré le : 03 févr. 2013 17:13
- Localisation : Lille
- Contact :
Re: Justice League Infinity (2021)
Vous êtes des bg.
Re: Justice League Infinity (2021)
Tu peux être sûr que ce sera édité dans la collection Kids Resboi
V'là le zinzin
Re: Justice League Infinity (2021)
Possible effectivement même si avec Urban je doute de tout
Hop demandé à Hell !
Hop demandé à Hell !
- Vittorini
- Super Légende
- Messages : 23706
- Enregistré le : 03 févr. 2013 17:13
- Localisation : Lille
- Contact :
Re: Justice League Infinity (2021)
JL Infinity #2 était peut-être moins percutant que le premier numéro mais il reste tout aussi fun et passionnant.
Je suppose qu’il y aurait déjà énormément de choses à dire sur la position de J’onn et sa volonté de s’effacer derrière l’identité d’une vieille indienne. Peut-être que la suite de la série reviendra sur ce point, mais force est d’admettre que ça a quelque chose de fascinant.
De manière assez amusante, l’arrivée de Superman dans le monde façonné par Savage et Overman est on ne peut plus actuel, avec ces deux populations très diversifiées et qui s’opposent sur des questions idéologiques. J’imagine, au vu de la terminologie utilisée, qu’il s’agissait surtout de dépeindre l’Amérique de Trump mais l’ensemble est suffisamment ambigu pour permettre d’y voir un paquet de choses.
Je pensais pas pouvoir ressentir quoi que ce soit pour le personnage d’Overman, mais la raison pour laquelle il épargne Lois s’avère très touchante.
Seuls défauts, ça reste peut-être trop verbeux, malgré une plume particulièrement agréable à lire, et j’aurais aimé voir l’intrigue d’Amazo avancer.
Pour l’instant, ça reste une excellente pioche et une nouvelle preuve qu’il y a un paquet de récits intéressants à bâtir sur la League.
Je suppose qu’il y aurait déjà énormément de choses à dire sur la position de J’onn et sa volonté de s’effacer derrière l’identité d’une vieille indienne. Peut-être que la suite de la série reviendra sur ce point, mais force est d’admettre que ça a quelque chose de fascinant.
De manière assez amusante, l’arrivée de Superman dans le monde façonné par Savage et Overman est on ne peut plus actuel, avec ces deux populations très diversifiées et qui s’opposent sur des questions idéologiques. J’imagine, au vu de la terminologie utilisée, qu’il s’agissait surtout de dépeindre l’Amérique de Trump mais l’ensemble est suffisamment ambigu pour permettre d’y voir un paquet de choses.
Je pensais pas pouvoir ressentir quoi que ce soit pour le personnage d’Overman, mais la raison pour laquelle il épargne Lois s’avère très touchante.
Seuls défauts, ça reste peut-être trop verbeux, malgré une plume particulièrement agréable à lire, et j’aurais aimé voir l’intrigue d’Amazo avancer.
Pour l’instant, ça reste une excellente pioche et une nouvelle preuve qu’il y a un paquet de récits intéressants à bâtir sur la League.