-Ok. Ramenez Joachim, Ledger et Nicholson.
-Ledger est mort
-Bon bah l'autre là. Le chanteur. Et faites un film. Vous avez 10 millions de budget, et 2 milliards d'objectif.
-Ok. Ramenez Joachim, Ledger et Nicholson.
C'est justement l'ambition du titre : A chaque numéro, un personnage est mis en avant avec son Joker et son traumatisme. C'est d'ailleurs admirablement bien exécuté avec Jason, puisque n'est absolument pas le traumatisme physique qui le fait déraper, mais bel et bien un sentiment de honte qu'il n'avait jusqu'alors jamais eu à s'avouer et qui est ici brutalement rappelé par le Joker, et devant Barbara.Batman293 a écrit : ↑26 août 2020 17:17J'ai un petit souci avec la présentation de ce qu'a causé le Joker à Batman. Johns et Fabok ne montrent que des cicatrices visibles causés par le Joker. Montrant que c'est ce qui impacte le plus Batman alors qu'il aurait été plus malin de montrer que le Joker lui a causé des cicatrices invisibles, les plus redoutables, se rapprochant de celle de la perte de ces parents sans l'atteindre, mais plus douloureuses que ce que lui ont causé ses autres ennemis. A aucun moment ne sont vraiment évoqués les traumatismes de la perte de Robin et Batgirl. Un comble pour cette dernière alors que le récit se réclame pleinement de The Killing Joke.
Un petit point sur Johns qui cède durant un instant au célèbre procédé de Batman qui frappe ses alliés avant de parler. Je déteste. Genre vraiment.
Personnellement, j'ai adoré. J'ai sincèrement eu l'impression d'être revenu 15 ans en arrière et de découvrir enfin la scène qu'Infinite Crisis nous avait volé lors de Under The Hood.Je déteste la fausse tension à la fin entre Jason, Barbara et le Joker. C'est bancal et on sent la volonté de Johns d'amener cette situation pour servir son histoire et non parce qu'elle découlerait logiquement d'une narration cohérente et fluide.
Je pense qu'on a tous dû y penser
Préco depuis le mois dernier