Batman Damned (2018)
- Vittorini
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Re: Batman Damned (2018)
ça marche ! Je comprends totalement ton avis et le respecte d'autant plus !
Re: Batman Damned (2018)
C’est réciproque
Mais bon prochain que je vais lire va faire probablement plus l’unanimité. Ce sera Batman Ego
Mais bon prochain que je vais lire va faire probablement plus l’unanimité. Ce sera Batman Ego
Black Alakadam le MarveliteVittorini a écrit : Admettons qu'un film Flash finisse par sortir avant la prochaine décennie : Je suis pas certain d'aller le voir.
Re: Batman Damned (2018)
Lu hier en HC VO, fini quelques minutes seulement avant d'assister à la conférence Comic Con d'Azzarello et Bermejo et c'est vraiment pas terrible.
Alors pour l'anecdote, la genèse de la série, c'est la rencontre de deux projets avortés d'Azzarello, une suite à Joker et un event crossover entre Justice League Dark et Batman, trouvant in fine sa place dans une nouvelle game mature.
Mon plus gros reproche, c'est que l'intrigue rappelle énormément Ego, avec un Batman hanté depuis sa jeunesse par une forme démonique avait qui il a fait un pacte à la mort de ses parents, le tout saupoudré d'un tas de références à The Killing Joke.
La série n'a l'air de s'en écarter que pour servir ses deux gimmicks, à savoir des rencontres avec des personnages magiques en réalité assez peu utiles à l'intrigue (c'est à se demander si Azarello voulait absolument utiliser des dialogues qu'il avait déjà écrit pour Justice League Dark) et une énorme dose de grim n' gritty (qui ne m'a pas vraiment surpris, étant l'aboutissement du Batman d'Azzarello).
S'agissant de la fin du #2, je ne l'ai pas interprété comme un viol par Batman et je ne pense pas que c'était l'intention de l'équipe. Je crois que ce qu'ils voulaient montrer c'était comme un relation sexuelle très violente entre deux cinglés, qui commence par une tentative de viol par Harley, in fine acceptée par Batman. C'est volontairement très malsain (d'autant plus que Harley indique juste avant qu'elle était victime de viol) mais je ne crois pas que l'intention des auteurs était de montrer Batman allant si loin.
Ce qui me désole, c'est que derrière tout cela, il y avait le potentiel d'une bonne histoire. Les quelques scènes qui tournent vraiment autour de la mort du Joker sont solides, la conclusion montrant un Batman qui, se sentant mourir, choisit de faire exception à sa règle (ce que je peux envisager) est forte et le dialogue final avec le Spectre est formidable.
Alors pour l'anecdote, la genèse de la série, c'est la rencontre de deux projets avortés d'Azzarello, une suite à Joker et un event crossover entre Justice League Dark et Batman, trouvant in fine sa place dans une nouvelle game mature.
Mon plus gros reproche, c'est que l'intrigue rappelle énormément Ego, avec un Batman hanté depuis sa jeunesse par une forme démonique avait qui il a fait un pacte à la mort de ses parents, le tout saupoudré d'un tas de références à The Killing Joke.
La série n'a l'air de s'en écarter que pour servir ses deux gimmicks, à savoir des rencontres avec des personnages magiques en réalité assez peu utiles à l'intrigue (c'est à se demander si Azarello voulait absolument utiliser des dialogues qu'il avait déjà écrit pour Justice League Dark) et une énorme dose de grim n' gritty (qui ne m'a pas vraiment surpris, étant l'aboutissement du Batman d'Azzarello).
S'agissant de la fin du #2, je ne l'ai pas interprété comme un viol par Batman et je ne pense pas que c'était l'intention de l'équipe. Je crois que ce qu'ils voulaient montrer c'était comme un relation sexuelle très violente entre deux cinglés, qui commence par une tentative de viol par Harley, in fine acceptée par Batman. C'est volontairement très malsain (d'autant plus que Harley indique juste avant qu'elle était victime de viol) mais je ne crois pas que l'intention des auteurs était de montrer Batman allant si loin.
Ce qui me désole, c'est que derrière tout cela, il y avait le potentiel d'une bonne histoire. Les quelques scènes qui tournent vraiment autour de la mort du Joker sont solides, la conclusion montrant un Batman qui, se sentant mourir, choisit de faire exception à sa règle (ce que je peux envisager) est forte et le dialogue final avec le Spectre est formidable.
I am the Revelation! The Tiger-Force at the core of things! When you cry out in your dreams, it is Darkseid that you see!
Re: Batman Damned (2018)
J'ai eu beau lire et relire ce damned et je n'y vois aucune trace de viol , plutôt un meutre de Batman sur Harley. Ce qui est déja assez incroyable en soit.
#teambubulle