Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Comment ça "non déjà" ?
Et oui JLD n'est pas le chef d'œuvres qu'est Detective. Parceque Detective est, pour moi, une merveille absolue comme on en a une ou deux tout les 5 ans.
Mais JLD reste un très bon titre, surtout dans sa gestion de l'équipe, chaque personnage est important et respectés. Ça ils sont pas milles à réussir à le faire quand je vois Avengers, Legion ou Young Justice actuellement.
Avec tout ça en main pour moi il y aurait de fortes chances qu'un titre JSA par Tynion soit phenomenal.
Mais c'est mon avis.
Et oui JLD n'est pas le chef d'œuvres qu'est Detective. Parceque Detective est, pour moi, une merveille absolue comme on en a une ou deux tout les 5 ans.
Mais JLD reste un très bon titre, surtout dans sa gestion de l'équipe, chaque personnage est important et respectés. Ça ils sont pas milles à réussir à le faire quand je vois Avengers, Legion ou Young Justice actuellement.
Avec tout ça en main pour moi il y aurait de fortes chances qu'un titre JSA par Tynion soit phenomenal.
Mais c'est mon avis.
- Vittorini
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Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Je suis Team Popol !
Sauf pour Avengers et YJ !
C'est pas qu'ils sont pas respectés, c'est juste que ... On fait pas grand chose avec non plus en fait ...
Sauf pour Avengers et YJ !
C'est pas qu'ils sont pas respectés, c'est juste que ... On fait pas grand chose avec non plus en fait ...
Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
D'accord.
Moi je lui trouve pas de concurrent crédible. Aucun auteur du big two me paraît potentiellement plus capable que lui pour une JSA à l'heure actuelle
Moi je lui trouve pas de concurrent crédible. Aucun auteur du big two me paraît potentiellement plus capable que lui pour une JSA à l'heure actuelle
Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Et ton copain Venditti ?
Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Qu'il reste sur des séries en marges m'irait bien.
À titre perso.
Donc ouais pour moi Tynion pour la JSA serait mon meilleur pick.
À titre perso.
Donc ouais pour moi Tynion pour la JSA serait mon meilleur pick.
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Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Le "grand" Geoff Johns revient sur son passage sur Green Lantern nous délivrant quelques info sympathiques pour son run :
https://www.cbr.com/geoff-johns-green-l ... niversary/
https://www.cbr.com/geoff-johns-green-l ... niversary/
Sondage du meilleur event DC 2nd Tour 2/2 :https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIp ... sp=sf_link
- Vittorini
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Re: Green Lantern 80th Anniversary (2020)
Petit récap’ de ma lecture :
- Dark Things Cannot Stand In The Light : Je suis un peu mitigé ici.
Certes, c’est beau à en crever, Frank fait du super boulot et, avec Tynion j’imagine, reprend des allégories qu’on avait déjà vues dans DDC, tout en illustrant cette fois la passion amoureuse. C’est juste superbe et chaque page est un délice pour les yeux.
Maintenant, c’est plutôt le texte qui me laisse dubitatif. Je suis un peu choqué par le traitement d’Alan, puisqu’on pourrait presque croire qu’il butte les responsables de l’accident. Cela dit, on ne voit rien donc je vais pas polémiquer sur de la spéculation.
En revanche, je suis très content qu’on puisse éventuellement raconter l’histoire d’un Alan qui va sortir du placard. Ça ne me dérange pas outre mesure, tant cela apporte une nouvelle dimension à ses rapports avec Obisidian, et rajoute une couche de tragique quant à sa relation avec Rose.
Il n’empêche, je peux pas m’empêcher d’être inquiet pour Jade et Obsidian et je tiens énormément au fait qu’ils soient ses enfants biologiques.
- Last Will : Je vais pas développer parce que ça risquerait de gâcher la surprise, qu’on voit venir à 10 000km mais on s’en fiche. Reste que c’est l’un de mes récits favoris. Fun, touchant, bien écrit, et avec un Ivan Reis vraiment en forme.
J’en garde un sourire impérissable. Merci Geoffrey.
- The Meaning of Fear : J’ai beaucoup aimé également le récit de Bunn, bien que je n’arrive pas à déterminer si sa conclusion et bonne ou mauvaise. Reste qu’il y a quelque chose de fascinant chez Sinestro que Bunn manie plutôt bien. Et avec Mahnke aux dessins, c’est forcément exceptionnel.
- Time Alone : Bam, O’neil et Grell sont à nouveau réunis et, en prime, dans un excellent récit. Enfin, excellent ... c’est pas le récit du siècle, mais je le trouve très très touchant. J’adorerais voir une nouvelle série GL/GA qui se servirait de ces quelques pages comme feuille de route.
Au-delà de ça, caractérisation parfaite, sous-texte intéressant, dessins plus qu’appréciables, il n’y a rien à jeter dans cette courte tranche de vie.
Une très très belle tranche de vie.
- Legacy : Bon ... j’ai l’impression que Ron Marz s’est pas foulé ... c’est un peu vide en fait. C’est dommage parce que j’ai trouvé le postulat de base vraiment fun, et je suis toujours très friand de la moindre occasion de ramener le Warriors sur le devant de la scène ... mais c’est vide. C’est un enchaînement de poncifs et de dialogues attendus et automatiques assez déplorables. J’en suis ressorti dépité alors que, bon sang, Kyle Rayner est un créateur de comics. Il n’y avait vraiment pas mieux à faire ?
J’entends bien que mettre un auteur emblématique, ça fait son petit effet, mais là c’était vraiment le degré zéro de la créativité :/
Heureusement, il y a Banks qui assure et livre un travail très séduisant.
- Heart of The Corps : dans ce genre d’anthologie, j’aime beaucoup me livrer à un petit jeu et éviter de regarder qui a écrit tel ou tel chapitre, pour voir à la fin si j’ai pu être agréablement surpris. Dans le cas présent, la surprise a été de taille, et la déception aussi. J’ai un peu de mal à croire que ce chapitre soit de Tomasi.
Ça commence plutôt bien, avec un Guy fidèle à lui-même, avant de se vautrer dans un récit lisse et franchement pas spécialement agréable à lire. Et la fameuse surprise a été, pour ma part, un vrai flop mais peut-être que le problème vient de moi. En tout cas, je l’espère sincèrement.
- Reverse The Polarity : J’avoue ici ne pas trop savoir quoi dire. Un peu comme avec le récit pour Kyle, j’en suis ressorti assez dépité. C’est tout ce qu’on trouve à dire sur John ? LE leader emblématique du GL Corps ?
Encore une fois, j’ai trouvé ça vide, fade, incompréhensible, mal écrit.
- Four : Alors là par contre ... Venditti, comme d’habitude, montre qu’il est en pleine forme et parvient à faire vibrer la corde sensible. C’était vraiment un très bel hommage. Pas seulement pour Guy, puisque çà-et-là, on peut voir briller chaque Lantern.
Je sais pas quoi dire d’autre si ce n’est que c’est un très très beau texte, qui parvient à conjuguer sans le moindre effort, et le fun, et la tragédie inhérents chez Gardner. Pour ne rien gâter, Sandoval livre un travail impeccable et porte parfaitement le texte de Venditti.
Merci Venditti de redresser la barre !
- The Voici : J’avoue, j’ai pas compris. Enfin, si, je crois avoir compris. On joue sur les névroses du personnage, avec un élément anodin, et c’est plutôt une bonne idée, mais j’ai trouvé ça loupé de chez loupé.
Heureusement, il y a Simon qui parvient toujours à me faire sourire dès qu’il est question de sa cuisine et de ses célèbres pancakes. Un peu dommage de retrouver en un mot tout le charme de Baz et de pas être capable d’exploiter correctement un personnage fascinant comme l’est Jessica.
- Homegrown Hero : Je vais être honnête, j’ai trouvé ça terriblement maladroit. Je comprends l’importance de ce récit, ce que ça représente pour l’auteur et l’intelligence du propos mais c’est quand même maladroit.
Quand c’est majoritairement cette religion, ou un courant bien particulier de cette religion pour être plus juste, qui est à l’origine de ce genre d’attentats, t’amuse pas à renverser les rôles, c’est juste gênant :/
Ou alors si le but c’est de taper sur tous les intégristes, fallait y aller à fond et pas juste se contenter de terroristes blancs.
Voilà pour ma part.
Avec un peu de recul, je sais pas trop où situer cette anthologie. C’est peut-être pas la meilleure, et en même temps y a quand même de très beaux textes, mais de sacrés loupés aussi.
Je crois que pour l’instant, Robin reste indetronable.
- Dark Things Cannot Stand In The Light : Je suis un peu mitigé ici.
Certes, c’est beau à en crever, Frank fait du super boulot et, avec Tynion j’imagine, reprend des allégories qu’on avait déjà vues dans DDC, tout en illustrant cette fois la passion amoureuse. C’est juste superbe et chaque page est un délice pour les yeux.
Maintenant, c’est plutôt le texte qui me laisse dubitatif. Je suis un peu choqué par le traitement d’Alan, puisqu’on pourrait presque croire qu’il butte les responsables de l’accident. Cela dit, on ne voit rien donc je vais pas polémiquer sur de la spéculation.
En revanche, je suis très content qu’on puisse éventuellement raconter l’histoire d’un Alan qui va sortir du placard. Ça ne me dérange pas outre mesure, tant cela apporte une nouvelle dimension à ses rapports avec Obisidian, et rajoute une couche de tragique quant à sa relation avec Rose.
Il n’empêche, je peux pas m’empêcher d’être inquiet pour Jade et Obsidian et je tiens énormément au fait qu’ils soient ses enfants biologiques.
- Last Will : Je vais pas développer parce que ça risquerait de gâcher la surprise, qu’on voit venir à 10 000km mais on s’en fiche. Reste que c’est l’un de mes récits favoris. Fun, touchant, bien écrit, et avec un Ivan Reis vraiment en forme.
J’en garde un sourire impérissable. Merci Geoffrey.
- The Meaning of Fear : J’ai beaucoup aimé également le récit de Bunn, bien que je n’arrive pas à déterminer si sa conclusion et bonne ou mauvaise. Reste qu’il y a quelque chose de fascinant chez Sinestro que Bunn manie plutôt bien. Et avec Mahnke aux dessins, c’est forcément exceptionnel.
- Time Alone : Bam, O’neil et Grell sont à nouveau réunis et, en prime, dans un excellent récit. Enfin, excellent ... c’est pas le récit du siècle, mais je le trouve très très touchant. J’adorerais voir une nouvelle série GL/GA qui se servirait de ces quelques pages comme feuille de route.
Au-delà de ça, caractérisation parfaite, sous-texte intéressant, dessins plus qu’appréciables, il n’y a rien à jeter dans cette courte tranche de vie.
Une très très belle tranche de vie.
- Legacy : Bon ... j’ai l’impression que Ron Marz s’est pas foulé ... c’est un peu vide en fait. C’est dommage parce que j’ai trouvé le postulat de base vraiment fun, et je suis toujours très friand de la moindre occasion de ramener le Warriors sur le devant de la scène ... mais c’est vide. C’est un enchaînement de poncifs et de dialogues attendus et automatiques assez déplorables. J’en suis ressorti dépité alors que, bon sang, Kyle Rayner est un créateur de comics. Il n’y avait vraiment pas mieux à faire ?
J’entends bien que mettre un auteur emblématique, ça fait son petit effet, mais là c’était vraiment le degré zéro de la créativité :/
Heureusement, il y a Banks qui assure et livre un travail très séduisant.
- Heart of The Corps : dans ce genre d’anthologie, j’aime beaucoup me livrer à un petit jeu et éviter de regarder qui a écrit tel ou tel chapitre, pour voir à la fin si j’ai pu être agréablement surpris. Dans le cas présent, la surprise a été de taille, et la déception aussi. J’ai un peu de mal à croire que ce chapitre soit de Tomasi.
Ça commence plutôt bien, avec un Guy fidèle à lui-même, avant de se vautrer dans un récit lisse et franchement pas spécialement agréable à lire. Et la fameuse surprise a été, pour ma part, un vrai flop mais peut-être que le problème vient de moi. En tout cas, je l’espère sincèrement.
- Reverse The Polarity : J’avoue ici ne pas trop savoir quoi dire. Un peu comme avec le récit pour Kyle, j’en suis ressorti assez dépité. C’est tout ce qu’on trouve à dire sur John ? LE leader emblématique du GL Corps ?
Encore une fois, j’ai trouvé ça vide, fade, incompréhensible, mal écrit.
- Four : Alors là par contre ... Venditti, comme d’habitude, montre qu’il est en pleine forme et parvient à faire vibrer la corde sensible. C’était vraiment un très bel hommage. Pas seulement pour Guy, puisque çà-et-là, on peut voir briller chaque Lantern.
Je sais pas quoi dire d’autre si ce n’est que c’est un très très beau texte, qui parvient à conjuguer sans le moindre effort, et le fun, et la tragédie inhérents chez Gardner. Pour ne rien gâter, Sandoval livre un travail impeccable et porte parfaitement le texte de Venditti.
Merci Venditti de redresser la barre !
- The Voici : J’avoue, j’ai pas compris. Enfin, si, je crois avoir compris. On joue sur les névroses du personnage, avec un élément anodin, et c’est plutôt une bonne idée, mais j’ai trouvé ça loupé de chez loupé.
Heureusement, il y a Simon qui parvient toujours à me faire sourire dès qu’il est question de sa cuisine et de ses célèbres pancakes. Un peu dommage de retrouver en un mot tout le charme de Baz et de pas être capable d’exploiter correctement un personnage fascinant comme l’est Jessica.
- Homegrown Hero : Je vais être honnête, j’ai trouvé ça terriblement maladroit. Je comprends l’importance de ce récit, ce que ça représente pour l’auteur et l’intelligence du propos mais c’est quand même maladroit.
Quand c’est majoritairement cette religion, ou un courant bien particulier de cette religion pour être plus juste, qui est à l’origine de ce genre d’attentats, t’amuse pas à renverser les rôles, c’est juste gênant :/
Ou alors si le but c’est de taper sur tous les intégristes, fallait y aller à fond et pas juste se contenter de terroristes blancs.
Voilà pour ma part.
Avec un peu de recul, je sais pas trop où situer cette anthologie. C’est peut-être pas la meilleure, et en même temps y a quand même de très beaux textes, mais de sacrés loupés aussi.
Je crois que pour l’instant, Robin reste indetronable.