Nightwing (2016)
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Re: Nightwing (2016)
ça rejoint ce que 293 disait lorsqu'il parlait de poétique de "l'attendrissement". Une grosse partie de ce qui nous attache aux comics de Taylor, c'est sa capacité à dépeindre de très beaux moments feel good : les relations avec Tim et Babs, Dick qui adopte un chien auquel il manque une patte ou encore ce sauvetage familial au moment même où il se découvre une soeur.
Force est de reconnaître que c'est très très efficace.
Force est de reconnaître que c'est très très efficace.
Modifié en dernier par Vittorini le 22 juil. 2021 13:43, modifié 1 fois.
Re: Nightwing (2016)
C'est exactement ça, je trouve personnellement qu'il s'agit de quelque chose qui sert une histoire, un bonus qui rend le tout plus généreux et plaisant, plus savoureux. Mais en aucun cas, je ne vois ça comme un remplacement ou une compensation des bases que sont raconter une bonne histoire avec une bonne narration, des enjeux de qualité et des dynamiques crédibles.Vittorini a écrit : ↑22 juil. 2021 12:57 ça rejoint ce que 293 disait lorsqu'il parlait de poétique de "l'attendrissement". Une grosse partie de ce qui nous attache aux comics de Taylor, c'est sa capacité à dépeindre de tes beaux moments feel good : les relations avec Tim et Babs, Dick qui adopte un chien auquel il manque une patte ou encore ce sauvetage familial au moment même où il se découvre une soeur.
Force est de reconnaître que c'est très très efficace.
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Re: Nightwing (2016)
Au contraire que #82 que j’avais trouvé extrêmement stupide, Nightwing #83 est vraiment parfait.
Reste toujours cette ridicule histoire de sœur cachée, mais c’est suffisamment réduit pour qu’on puisse prétendre que ca n’existe pas.
Pour le reste tout est extrêmement bien écrit. La confrontation verbale avec Blockbuster est jouissive, l’hommage aux débuts de Nightwing avec Superman est plus que bienvenu, en plus d’être pertinent, et la petite avancée avec Barbara fait super plaisir. Bon, on voit qu’il a été largement puiser chez MJ ici, et à la relecture on voit 2-3 trucs récupérés de Friendly Neighborhood Spider-Man, mais on va dire que ça passe.
J’ai énormément apprécié également la courte intervention de Batman. Forcément j’aurais aimé plus mais la sobriété fonctionne aussi bien. Curieux également de voir ce que ça annonce pour Jon.
Si je devais émettre quelques réserves, je dirais que ça sent quand même, un peu, la critique implicite de la quasi-disparition de Bruce Wayne dans les récits de Batman et le héros qu’il devrait être pour la population.
Bref, super numéro.
Reste toujours cette ridicule histoire de sœur cachée, mais c’est suffisamment réduit pour qu’on puisse prétendre que ca n’existe pas.
Pour le reste tout est extrêmement bien écrit. La confrontation verbale avec Blockbuster est jouissive, l’hommage aux débuts de Nightwing avec Superman est plus que bienvenu, en plus d’être pertinent, et la petite avancée avec Barbara fait super plaisir. Bon, on voit qu’il a été largement puiser chez MJ ici, et à la relecture on voit 2-3 trucs récupérés de Friendly Neighborhood Spider-Man, mais on va dire que ça passe.
J’ai énormément apprécié également la courte intervention de Batman. Forcément j’aurais aimé plus mais la sobriété fonctionne aussi bien. Curieux également de voir ce que ça annonce pour Jon.
Si je devais émettre quelques réserves, je dirais que ça sent quand même, un peu, la critique implicite de la quasi-disparition de Bruce Wayne dans les récits de Batman et le héros qu’il devrait être pour la population.
Bref, super numéro.
Re: Nightwing (2016)
Nightwing #83
S'il est un numéro qui est particulièrement excellent cette semaine c'est bien cette conclusion du premier arc de Taylor et Redondo. Et ce numéro est un véritable hommage à Dick, et une parfaite réponse aux premiers numéros du run. Entre scène d'action bien dynamique, nourries par des propositions visuelles très intéressantes, et des scènes plus calmes qui rappellent et soulignent la place de Dick au sein de l'univers DC, le numéro fait aussi un pas en avant pour la relation de Dick et Babs.
Comme le dit Vitto, ça annonce au passage certaines choses pour Jon, et j'ai hâte de voir ça ! Une très bonne idée de la part de Tom Taylor, d'autant plus qu'il écrit les deux titres.
Par contre petit disclaimer, pas sûr qu'un fugitif qui ne veuille pas être retrouve comme Damian parle tranquillement sur le WhatsApp de la famille
Et sacre cameo de Batman.
Bien joué à Tom Taylor et Bruno Redondo, aujourd'hui ils ont frappé très fort.
S'il est un numéro qui est particulièrement excellent cette semaine c'est bien cette conclusion du premier arc de Taylor et Redondo. Et ce numéro est un véritable hommage à Dick, et une parfaite réponse aux premiers numéros du run. Entre scène d'action bien dynamique, nourries par des propositions visuelles très intéressantes, et des scènes plus calmes qui rappellent et soulignent la place de Dick au sein de l'univers DC, le numéro fait aussi un pas en avant pour la relation de Dick et Babs.
Comme le dit Vitto, ça annonce au passage certaines choses pour Jon, et j'ai hâte de voir ça ! Une très bonne idée de la part de Tom Taylor, d'autant plus qu'il écrit les deux titres.
Par contre petit disclaimer, pas sûr qu'un fugitif qui ne veuille pas être retrouve comme Damian parle tranquillement sur le WhatsApp de la famille
Et sacre cameo de Batman.
Bien joué à Tom Taylor et Bruno Redondo, aujourd'hui ils ont frappé très fort.
V'là le zinzin
Re: Nightwing (2016)
Comme vous, j'ai vraiment beaucoup aimé ce numéro. J'imagine que certains pourront reprocher à Taylor de partir dans trop de directions différentes et de ne pas vraiment faire avancer le récit, mais pour ma part ça ne me dérange pas, d'autant plus que tout se rejoint au final. On a là un numéro très simple en soi puisqu'il consiste principalement en une série d'échanges entre Dick et divers personnages, et ça marche du feu de dieu tant Taylor sait y mettre du cœur.
Même si tout le numéro est excellent, j'ai particulièrement apprécie l'interaction avec Superman. Rien que de voir ces deux personnages se considérer comme de vrais amis malgré le décalage générationnel, ça me plait beaucoup. Taylor sait utiliser le passif des personnages pour leur donner à leurs dynamiques de l'épaisseur et de la couleur, c'est beau à voir. Je suis particulièrement curieux de voir comment l'auteur va inverser les rôles, cette fois-ci avec un Dick en mentor de Jon. Ca promet.
Voilà, j'apprécie particulièrement de voir un numéro comme celui-ci qui prend son temps, juste pour permettre à Dick de prendre conseil auprès des gens qu'il aime afin de concrétiser son projet. Son annonce de fin de numéro est en fait très simple dans l'idée, mais elle est puissante, notamment dans le rayonnement qu'elle peut avoir. Avec ce titre et Son of Kal-El, j'ai l'impression que Taylor veut vraiment faire du DCU un monde meilleur.
Même si tout le numéro est excellent, j'ai particulièrement apprécie l'interaction avec Superman. Rien que de voir ces deux personnages se considérer comme de vrais amis malgré le décalage générationnel, ça me plait beaucoup. Taylor sait utiliser le passif des personnages pour leur donner à leurs dynamiques de l'épaisseur et de la couleur, c'est beau à voir. Je suis particulièrement curieux de voir comment l'auteur va inverser les rôles, cette fois-ci avec un Dick en mentor de Jon. Ca promet.
Voilà, j'apprécie particulièrement de voir un numéro comme celui-ci qui prend son temps, juste pour permettre à Dick de prendre conseil auprès des gens qu'il aime afin de concrétiser son projet. Son annonce de fin de numéro est en fait très simple dans l'idée, mais elle est puissante, notamment dans le rayonnement qu'elle peut avoir. Avec ce titre et Son of Kal-El, j'ai l'impression que Taylor veut vraiment faire du DCU un monde meilleur.
Re: Nightwing (2016)
Vu les avis que j’ai pu lire sur Nightwing #82-83, je dois dire que je m’attendais au pire et pourtant je suis rassuré. Alors, mettons nous d’accord, je trouve le scénario de Taylor déplorable, que ça soit la sœur méchante de Dick, qui est en réalité sa demi-sœur, et en réalité pas si méchante, le tout saupoudré de Tony Zucco qui était l’ennemi des Grayson Volant bien avant de les tuer, c’est vraiment idiot. Je ne parle même pas du graphisme de Meilin Lin jeune qui ne colle pas du tout avec son âge.
Donc le fond est idiot, disons le. Mais à côté de cela on a le droit à un graphisme vraiment agréable dans ce numéro #82 avec une très belle gestion visuelle des flashback. De plus, si le #82 souffre de son scénario, malgré les rouages de la Bat-Family bien exploitées, le numéro #83 remonte clairement, offrant à la fois de l’action, de la sensibilité et osant un peu d’optimisme sur le fond de l’histoire, vis-à-vis de ce que peut faire Dick.
Pour ma part, ce n’est pas parce qu’une idée est mauvaise et plombe un peu le scénario qu’il faut condamner la série, tout à fait capable de nous surprendre. Chaque personne garde sa voix propre, la Bat-family est parfaitement géré et Taylor va jusqu’à utiliser avec sagesse le duo Clark/Dick, en osant même espérer que Jon aura la même relation avec Dick que ce-dernier avait avec son père.
J’ai vraiment beaucoup aimé le côté émotionnel du propos et l’usage des personnages que je ne trouve ni superficiel ni offert.
Le fait, peut être, d’avoir lu ces deux numéros à la suite et longtemps après leur parution m’a permis de relativiser et aussi de moins espérer que d’autres, pouvant expliquer mon sentiment positif.
Donc le fond est idiot, disons le. Mais à côté de cela on a le droit à un graphisme vraiment agréable dans ce numéro #82 avec une très belle gestion visuelle des flashback. De plus, si le #82 souffre de son scénario, malgré les rouages de la Bat-Family bien exploitées, le numéro #83 remonte clairement, offrant à la fois de l’action, de la sensibilité et osant un peu d’optimisme sur le fond de l’histoire, vis-à-vis de ce que peut faire Dick.
Pour ma part, ce n’est pas parce qu’une idée est mauvaise et plombe un peu le scénario qu’il faut condamner la série, tout à fait capable de nous surprendre. Chaque personne garde sa voix propre, la Bat-family est parfaitement géré et Taylor va jusqu’à utiliser avec sagesse le duo Clark/Dick, en osant même espérer que Jon aura la même relation avec Dick que ce-dernier avait avec son père.
J’ai vraiment beaucoup aimé le côté émotionnel du propos et l’usage des personnages que je ne trouve ni superficiel ni offert.
Le fait, peut être, d’avoir lu ces deux numéros à la suite et longtemps après leur parution m’a permis de relativiser et aussi de moins espérer que d’autres, pouvant expliquer mon sentiment positif.
Vittorini a écrit : likes ce messageOk là je me couche.mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ?
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Re: Nightwing (2016)
D’accord sur ce point. La stupidité du #82 a bien failli me faire passer à côté d’un excellent #83.
Re: Nightwing (2016)
Déjà vu, oui. Stupide, non.
Et vous savez pourquoi ? N'est stupide que la stupidité !
Et vous savez pourquoi ? N'est stupide que la stupidité !
Re: Nightwing (2016)
Chef d'œuvre !