Surinterprétation ça par contre.
Action Comics (1938)
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Re: Action Comics (1938)
Re: Action Comics (1938)
Le mot "déteste" est un peu fort mais c'est clairement pas son truc :
Hi Mark, thanks for taking the time to do this! Hope you’re staying healthy and safe. I know you somewhat prefer the love triangle with Clark, Lois, and Superman. Considering the development of Lois and Clark into a proper family with with Jon, is that a dynamic you’d want to tackle or would you prefer doing something outside of that, like a continuation of Birthright?
I think Bendis and others are doing wonders with it. It doesn’t really feel like “my” personal interpretation of Superman, but that’s in no way a criticism! I just personally lean towards the Superman who feels very alone in this world. Birthright Superman. That’s just me. No judgment.
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Re: Action Comics (1938)
Encore une fois, je pense qu'il ne faut pas confondre le sentiment de solitude et le fait d'être physiquement ou familialement seul.
Re: Action Comics (1938)
Oui enfin on lui parle de la dynamique Clark/Lois/Jon quand il dit que c'est pas son Superman hein, pas besoin d'interpréter.
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Re: Action Comics (1938)
"Bendis a bien montré dans ces pages que l'on a bien deux réalités totalement séparées qui sont pré-Flashpoint et post-Rebirth et qui ne sont pas du tout la même, là où Johns n'a cessé de dire l'inverse via Rebirth ou Doomsday Clock mais en soulignant qu'il y avait eu une parenthèse et un écart temporel surtout. Là c'est juste des mondes différents."
Je vais avouer que pour Doom Clock j'ai toujours trouvé que ça contredisait avec ce qui était dit dans le DCU Rebirth.
Dans le One-shot on disait que Manhattan avait "enlever" 10 ans au DCU. Alors que dans Doom Clock on voir que que Manhattan a modifié la timeline en se débarrassant de Alan Scott. Pour moi Johns propose 2 versions qui se contredise.
Je vais avouer que pour Doom Clock j'ai toujours trouvé que ça contredisait avec ce qui était dit dans le DCU Rebirth.
Dans le One-shot on disait que Manhattan avait "enlever" 10 ans au DCU. Alors que dans Doom Clock on voir que que Manhattan a modifié la timeline en se débarrassant de Alan Scott. Pour moi Johns propose 2 versions qui se contredise.
Sondage du meilleur event DC 2nd Tour 2/2 :https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIp ... sp=sf_link
Re: Action Comics (1938)
Batman293 a écrit : ↑31 mai 2020 17:25Le mot "déteste" est un peu fort mais c'est clairement pas son truc :
Hi Mark, thanks for taking the time to do this! Hope you’re staying healthy and safe. I know you somewhat prefer the love triangle with Clark, Lois, and Superman. Considering the development of Lois and Clark into a proper family with with Jon, is that a dynamic you’d want to tackle or would you prefer doing something outside of that, like a continuation of Birthright?
I think Bendis and others are doing wonders with it. It doesn’t really feel like “my” personal interpretation of Superman, but that’s in no way a criticism! I just personally lean towards the Superman who feels very alone in this world. Birthright Superman. That’s just me. No judgment.
Il y a justement une différence entre ce que tu dis là et ce que tu dis dans d'autres messages.
Pour Waid, "Jon c'est pas son truc" est tout à fait juste. Par contre, il dit explicitement que ça n'en fait pas une mauvaise idée en soi. Waid dit juste qu'il n'aime pas écrire ce genre de Superman et que ça lui parle moins, mais pas que Jon ou Loïs sont des mauvaises idées. Waid a ici une certaine objectivité vis-à-vis de ses propres ressentis que je trouve cool.
Vittorini a écrit : likes ce messageOk là je me couche.mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ?
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Re: Action Comics (1938)
Désolé Mav mais on a déjà eu ce débat et, spoiler, ça s’est mal terminé pour moi.
Raison de plus pour me réfugier dans du Superman par Bendis.
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Re: Action Comics (1938)
Je viens de finir AC #1022.
Quelque part, ce numéro m’énerve un peu. J’ai l’impression que chez DC, les auteurs peuvent poursuivre l’intrigue Rebirth au cas par cas et que certains ont droit à des traitements de faveur.
La bonne nouvelle, c’est que Bendis place DDC directement en continuité de son run.
Au-delà de tout ça, ça reste un numéro typique de Bendis, mais avec une bonne dose de Snyder. Du texte partout. Le plus possible. J’ai ressenti la même impression qu’en regardant la série Harley Quinn où tout le monde hurle en même temps pour essayer de créer un effet cool.
Même chose ici, tout est fun, tout est cool, tout est prétexte à la blagounette mais on termine sur une note de pathos et de mystère autour des reboots continuels dont Conner est la preuve vivante.
C’était peut-être pas le meilleur numéro pour reprendre mais j’ai plus ou moins eu ce que je voulais et ce à quoi je m’attendais. Cependant j’aurais énormément de mal à dire si j’ai apprécié. Malgré les bonnes choses, j’ai plus l’impression de subir Bendis qu’autre chose.
Et j’en reviens toujours pas de cette obsession pour les chiottes et le pipi caca. Deux fois cette fois, deux fois.
Quelque part, ce numéro m’énerve un peu. J’ai l’impression que chez DC, les auteurs peuvent poursuivre l’intrigue Rebirth au cas par cas et que certains ont droit à des traitements de faveur.
La bonne nouvelle, c’est que Bendis place DDC directement en continuité de son run.
Au-delà de tout ça, ça reste un numéro typique de Bendis, mais avec une bonne dose de Snyder. Du texte partout. Le plus possible. J’ai ressenti la même impression qu’en regardant la série Harley Quinn où tout le monde hurle en même temps pour essayer de créer un effet cool.
Même chose ici, tout est fun, tout est cool, tout est prétexte à la blagounette mais on termine sur une note de pathos et de mystère autour des reboots continuels dont Conner est la preuve vivante.
C’était peut-être pas le meilleur numéro pour reprendre mais j’ai plus ou moins eu ce que je voulais et ce à quoi je m’attendais. Cependant j’aurais énormément de mal à dire si j’ai apprécié. Malgré les bonnes choses, j’ai plus l’impression de subir Bendis qu’autre chose.
Et j’en reviens toujours pas de cette obsession pour les chiottes et le pipi caca. Deux fois cette fois, deux fois.
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Re: Action Comics (1938)
J’ai relu Action Comics #775 hier soir, quel plaisir.
Déjà, voir Manhke et Bermejo à ce stade de leur carrière, ça fait toujours sourire et c’est super intéressant à admirer.
Pour le récit en lui-même, je trouve toujours l’introduction un poil brouillonne mais une fois que l’intrigue est lancée, c’est toujours un chouette moment de lecture.
Je crois que ma séquence préférée restera l’échange entre Pa et Clark. J’adore ce Jonathan qui taille du bois dans son coin tout en envoyant des baux ou des bails à son fils.
La conclusion fait également toujours son petit effet.
Ça a quand même l’air d’être un thème assez récurrent chez Joe Kelly, cette opposition entre justice expéditive et idéalisme.
Reste que What’s so funny about Truth, Justice and The American Way, c’est toujours le petit comics qu’il est bon de relire jusqu’à plus soif.
Je vais tenter l’adaptation je pense.
Déjà, voir Manhke et Bermejo à ce stade de leur carrière, ça fait toujours sourire et c’est super intéressant à admirer.
Pour le récit en lui-même, je trouve toujours l’introduction un poil brouillonne mais une fois que l’intrigue est lancée, c’est toujours un chouette moment de lecture.
Je crois que ma séquence préférée restera l’échange entre Pa et Clark. J’adore ce Jonathan qui taille du bois dans son coin tout en envoyant des baux ou des bails à son fils.
La conclusion fait également toujours son petit effet.
Ça a quand même l’air d’être un thème assez récurrent chez Joe Kelly, cette opposition entre justice expéditive et idéalisme.
Reste que What’s so funny about Truth, Justice and The American Way, c’est toujours le petit comics qu’il est bon de relire jusqu’à plus soif.
Je vais tenter l’adaptation je pense.
Re: Action Comics (1938)
Purée.