Également. Pour ça la S3 sera meilleure
Flash Forward (2019)
Re: Flash Forward (2019)
Ils hésitaient encore entre en faire le nouvel Harbinger, ou le transformer en psycho-pirate à tous les coups
V'là le zinzin
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Re: Flash Forward (2019)
C’est bien vu. Un peu trop bien vu même. ON T’A RECONNU DAN !
Re: Flash Forward (2019)
Mais euh ;-; si j'étais vraiment Didio j'aurais parle de mon objectif de faire de Dick/Ric le nouveau Monitor/Anti-Monitor ._.
Sauf que je n'en ai pas parlé ! Ce ne peut donc pas être moi
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Re: Flash Forward (2019)
Nouvelle couverture pour Flash Forward !
Re: Flash Forward (2019)
Pas du tout fan ... Ce genre de composition me semble finalement assez hors de propos, évoquant juste vaguement quelques scènes plutôt que proposer une vraie couverture.
Vittorini a écrit : likes ce messageOk là je me couche.mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ?
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Re: Flash Forward (2019)
Ah c'est surchargé au possible ouai. Et pis le titre en gros en plein milieu, ça aide pas
Re: Flash Forward (2019)
Bien que je trouvais l'écriture de Wally très authentique, j'avais laissé de côté Flash Forward après le #2. En plein Death Metal, j'ai décidé de m'y remettre, et je ne regrette absolument pas.
Là où dans Heroes in Crisis on avait un auteur qui avait pour consigne de trainer dans la boue Wally, Flash Forward propose une réelle volonté d'auteur d'écrire sur le héros et de le réhabiliter. Lobdell n'est clairement pas le meilleur auteur que l'on connaisse, mais à travers ces pages, on reconnait un amour sincère pour Wally et son univers. C'est con, mais c'est qqch que l'on ne voit pas si souvent ces derniers temps.
Le récit prend une forme très blockbuster avec un schéma bien répétitif, ce qui crée un petit coup de mou au milieu, mais pour qui voit au-delà, on a surtout une belle histoire de réhabilitation. Numéro après numéro, Lobdell rend à Wally ce qui lui a été pris, lui rappelle (ainsi qu'à nous) ce qui le rend aussi spécial. Plus que cela, Flash Forward permet même de répondre à une attente de longue date, qui plus est de façon très satisfaisante dans son exécution, ce qui crée un véritable sentiment d'accomplissement. La traversée du désert, c'est fini. L'air de rien, on a là une histoire de traumatisme, celui d'un parent, mais qui ne dénature pas son personnage pour autant. Au contraire. King aurait peut-être à apprendre de Lobdell finalement.
Au départ, Wally est un meurtrier presque suicidaire, traîné dans la boue, humilié. A la fin, c'est un père heureux, et même un dieu. Quel pied de nez formidable.
Là où dans Heroes in Crisis on avait un auteur qui avait pour consigne de trainer dans la boue Wally, Flash Forward propose une réelle volonté d'auteur d'écrire sur le héros et de le réhabiliter. Lobdell n'est clairement pas le meilleur auteur que l'on connaisse, mais à travers ces pages, on reconnait un amour sincère pour Wally et son univers. C'est con, mais c'est qqch que l'on ne voit pas si souvent ces derniers temps.
Le récit prend une forme très blockbuster avec un schéma bien répétitif, ce qui crée un petit coup de mou au milieu, mais pour qui voit au-delà, on a surtout une belle histoire de réhabilitation. Numéro après numéro, Lobdell rend à Wally ce qui lui a été pris, lui rappelle (ainsi qu'à nous) ce qui le rend aussi spécial. Plus que cela, Flash Forward permet même de répondre à une attente de longue date, qui plus est de façon très satisfaisante dans son exécution, ce qui crée un véritable sentiment d'accomplissement. La traversée du désert, c'est fini. L'air de rien, on a là une histoire de traumatisme, celui d'un parent, mais qui ne dénature pas son personnage pour autant. Au contraire. King aurait peut-être à apprendre de Lobdell finalement.
Au départ, Wally est un meurtrier presque suicidaire, traîné dans la boue, humilié. A la fin, c'est un père heureux, et même un dieu. Quel pied de nez formidable.
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Re: Flash Forward (2019)
Bien d’accord : la première partie, et surtout le #3, cest vraiment la partie molle qui survit principalement grâce à Booth (j’ai posté les crayonnés de son Batman Vampire, c’est impressionnant).
Je suis peut-être un peu plus dubitatif sur le fait d’avoir transformé Wally en dieu.
Heureusement, sachant que Lobdell et l’éditorial ont repris le schéma classique de n’importe quel arc de Waid post-Zero Hour, je m’attends à un truc très éphémère.
En attendant, c’est vrai que c’est cool de voir Wally “gagner”, même un bref instant.
Je suis peut-être un peu plus dubitatif sur le fait d’avoir transformé Wally en dieu.
Heureusement, sachant que Lobdell et l’éditorial ont repris le schéma classique de n’importe quel arc de Waid post-Zero Hour, je m’attends à un truc très éphémère.
En attendant, c’est vrai que c’est cool de voir Wally “gagner”, même un bref instant.