The Flash (1987)
Re: The Flash (1987)
Doucement Vitto. Y a aucun black label pour Watchmen... Pour l'instant...
- Vittorini
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Re: The Flash (1987)
Du Wally chez DC. Mais pas trop attention !
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Re: The Flash (1987)
[About Mark Waid's run on The Flash] Now, six years later, he'd returned to DC as a writer, bent on restoring a sense of joyous, inventive acceleration to the adventures of the Flash. His stories were never less than ingenious, with old-school heart-stopping climaxes, genuine romance, and a dozen never-before-seen tricks in every issue. They were the inheritors of the Julius Schwartz tradition, heartfelt bulletin from a southern geek with the steel-trap mind of a lawyer and the faraway eyes of a Silver Age boyhood never quit outgrown. Superheroes had been Waid's best friends, and there was no way he would allow them to become grizzled antiheroes, reduced to snapping spines or endlessly justifying themselves. He gave Wally West, the one-time Kid Flash, a piece of his own soul that turned a B-list sidekick into a rounded, sympathetic young protagnist who you could root for easily. As the Flash had rescued superhero comics from the dead darkness of the fifties, he was here again to jump-start a new age of recapitulation, restoration, and Renaissance.
Re: The Flash (1987)
Je vais relancer ce topic pour le plus grand plaisir de Vitto, d'autant plus quand c'est pour parler de The Return of Barry Allen, que j'ai enfin lu.
Bah je comprends pourquoi c'est un indispensable pour tout lecteur de The Flash ou même de DC Comics. Y'a tous les ingrédients qui font qu'on peut aimer ce personnage et cet univers. Et j'ai même l'impression que c'est l'arc qui va vraiment lancer le run de Waid, tant la notion de Flash Family y est présente. J'ai hâte de lire la suite avec Max, Johnny et Jay dans les parages (du moins je l'espère).
Même si je connaissais les grandes lignes du récit, j'ai pris beaucoup de plaisir à le découvrir véritablement. L'émancipation de Wally est magnifiquement écrite. Et heureusement, parce qu'autrement, les dernières pages auraient largement de quoi faire grincer des dents. Waid établie Wally comme un Flash à part entière qui ne porte plus le costume sous le poids de l'héritage qu'il veut maintenir en vie. Il veut tellement l'émanciper qu'il le fait devenir aussi, si ce n'est plus, rapide que son mentor. Et surtout, il s'approprie complètement le vilain le plus emblématique de Barry ! Wally est donc le premier Flash qu'Eobard aura jamais affronté, et ce sans même le savoir. Là il a absolument pourri la vie de Barry, Wally le ridiculise comme jamais. C'est presque insultant quoi !
Moi qui adore Eobard, j'ai vraiment aimé le voir aussi important ici, d'autant plus à travers le dernier numéro qui raconte ses origines. Mais j'ai été pas mal surpris également de le voir aussi vulnérable et pathétique. Il ne devient ici qu'une victime forcé à devenir tyran. Aussi, je me demande maintenant : quelles étaient alors ses origines avant cet arc ? Je croyais qu'il avait toujours été un "fan" de Barry devenu fou en apprenant son destin, mais visiblement non. Aussi, on nous dit qu'il oublie tout de ce qu'il s'est passé avec Wally en 93, mais que cet arc constitue pourtant la raison de sa haine envers Flash. C'est pas un peu facile scénaristiquement ? Il se souvient uniquement de son sentiment de haine alors ? Sans même se demander pourquoi ? Je trouve ça à la fois brillant et bancal !
Bah je comprends pourquoi c'est un indispensable pour tout lecteur de The Flash ou même de DC Comics. Y'a tous les ingrédients qui font qu'on peut aimer ce personnage et cet univers. Et j'ai même l'impression que c'est l'arc qui va vraiment lancer le run de Waid, tant la notion de Flash Family y est présente. J'ai hâte de lire la suite avec Max, Johnny et Jay dans les parages (du moins je l'espère).
Même si je connaissais les grandes lignes du récit, j'ai pris beaucoup de plaisir à le découvrir véritablement. L'émancipation de Wally est magnifiquement écrite. Et heureusement, parce qu'autrement, les dernières pages auraient largement de quoi faire grincer des dents. Waid établie Wally comme un Flash à part entière qui ne porte plus le costume sous le poids de l'héritage qu'il veut maintenir en vie. Il veut tellement l'émanciper qu'il le fait devenir aussi, si ce n'est plus, rapide que son mentor. Et surtout, il s'approprie complètement le vilain le plus emblématique de Barry ! Wally est donc le premier Flash qu'Eobard aura jamais affronté, et ce sans même le savoir. Là il a absolument pourri la vie de Barry, Wally le ridiculise comme jamais. C'est presque insultant quoi !
Moi qui adore Eobard, j'ai vraiment aimé le voir aussi important ici, d'autant plus à travers le dernier numéro qui raconte ses origines. Mais j'ai été pas mal surpris également de le voir aussi vulnérable et pathétique. Il ne devient ici qu'une victime forcé à devenir tyran. Aussi, je me demande maintenant : quelles étaient alors ses origines avant cet arc ? Je croyais qu'il avait toujours été un "fan" de Barry devenu fou en apprenant son destin, mais visiblement non. Aussi, on nous dit qu'il oublie tout de ce qu'il s'est passé avec Wally en 93, mais que cet arc constitue pourtant la raison de sa haine envers Flash. C'est pas un peu facile scénaristiquement ? Il se souvient uniquement de son sentiment de haine alors ? Sans même se demander pourquoi ? Je trouve ça à la fois brillant et bancal !
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Re: The Flash (1987)
Durant le Silver Age, le Reverse Flash n’était qu’un vulgaire criminel qui a trouvé le costume de Barry, en a extirpé les propriétés, et a décidé de devenir un simple voleur pour s’enrichir.
C’est véritablement Waid qui l’a transformé en fanatique détraqué venu rencontrer son idole avant de découvrir que :
1) il avait déjà un remplaçant et était donc exclu de l’héritage.
2) il est destiné à devenir sa Némésis, ce qui achève de le rendre totalement barjo et déclenche sa haine du Flash.
Le voyage dans le temps, tel que le pratique Eobard chamboule totalement sa mémoire au point qu’il a cru être Barry et, effectivement, en revenant dans le futur, il ne garde qu’une impression de haine envers le Flash, juste à temps pour rencontrer Barry la première fois et qu’il le jette en prison. Je ne doute pas cependant qu’au fil du temps Eobard s’est rappelé de deux trois trucs.
Là où c’est brillant, c’est que Wally ne vole rien à Barry. En créant cette boucle temporelle, Wally agit juste en gardien de l’héritage de Barry et s’assure que tous les événements qui ont/avaient fait de lui le plus grand héros du DCU demeurent intact.
Wally consolide davantage un symbole et ne fait pas que simplement s’accaparer tout ce qui faisait l’histoire de Barry Allen. C’est pour ça que Waid évite soigneusement la Rogue Gallery du second Flash, à quelques exceptions près comme tu le découvriras avec Chain Lightning.
J’en profite pour rappeler au monde l’une des plus belles pages jamais écrites dans l’industrie du comics et qui, aujourd’hui, trouve une résonance très particulière.
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Re: The Flash (1987)
Pourquoi tu postes des trucs comme ça Vitto, tu veux vraiment faire pleurer tout le monde ?
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Re: The Flash (1987)
Le run de Mike Baron sera collecté, et avant l’excellent travail de Messner-Loebs qui, lui, est vraiment dans le besoin.
http://prhinternationalsales.com/book/? ... 1401299576
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Re: The Flash (1987)
Mark Waid a écrit :You cannot count the number of times people came down the hall at DC Comics to ask us when somebody's legs were getting shattered or when something horrible or grotesque would happen to Flash. But that character, that book, is not about tragedy. It's never been about tragedy. It's been about hope, and it's been about movement, and it's been about freedom. And so we – Brian and I together – just followed our muse. And we knew we were being defiant in an age of dark and grim comics, but what we had seemed to work. We stood out from the crowd and we didn't sink beneath the waves.