Justice League of America (1960)

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Jason Todd
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Re: Justice League [Omnibus]

Message par Jason Todd »

Vittorini a écrit :A noter qu'une édition TPB, bien plus agréable pour le confort de lecture et avec des couvertures par Cooke, est prévue.
C'est bon vous m'avez poussé à l'achat :lol:
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Tommy
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Re: Justice League [Omnibus]

Message par Tommy »

DarkChap a écrit :
Tommy a écrit :EDIT : Et je m'interroge sur la publication après l'épisode 92, dernier publié en Archives... Est-ce que DC va continuer à publier en omnibus puis en TPB ?
Franchement, avec DC, tu ne sais jamais. Ils sont tout à fait capables d'arrêter leurs rééditions du jour au lendemain. Dernièrement, ils ont par exemple suspendu les Martian Manhunter et Spectre d'Ostrander après seulement deux tomes.
Et puis, quitte à parler de Silver/Golden Age autant rappeler les Chronicles... Heureusement je n'avais pris que le premier tome de Batman, mais il y avait de quoi l'avoir à l'envers ; entre les Chronicles, les TPB sans suite, les Archives, les Showcase presents, DC a bien publié les premiers épisodes des mêmes séries mais alors pour la suite, on peut toujours se gratter.

Enfin bref, je me plains, mais ceux qui font la VF, eux, n'ont presque rien à part du Batman.
urbanvspanini10 a écrit : Tommy avait raison.
Resendes a écrit : Tommy avait raison !
Parademon a écrit :Tommy avait raison
Alakazou a écrit : Tommy avait raison
Vittorini a écrit :Tommy avait donc raison
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TheRiddler
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Re: Justice League of America (1960)

Message par TheRiddler »

[déterrage de topic]

Je me suis farci le run de Gardner Fox (plus de soixante numéros sur huit ans de Justice League) à coups d'un issue par matin avec le café. J'approche du bout, Gardner Fox lâchant après le numéro #64 pour laisser la place à .... Dennis O'Neil (ne vous excitez pas, il reste pas longtemps sur le titre, prétextant qu'il est pas à l'aise avec un large casting de personnages). Le plaisir de lecture varie selon le caractère historique des numéros présentés, et selon l'originalité des menaces et celle des plans pour les contrecarrer. Tout en saluant l'initiative, j'avais trouvé par exemple laborieux la tentative d'aborder le thème du racisme dans le Justice League of America #57. Mais je voulais vous parler du Justice League of America #63 daté de juin 1968, soit le dernier numéro desciné par Mike Sekowsky, qui s'est occupé sans interruption de la Justice League depuis sa création sans jamais rendre ses planches en retard, et l'avant-dernier numéro écrit par Gardner Fox, qui me semble compter parmi les meilleures histoires de son run:

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https://dc.fandom.com/wiki/Justice_Leag ... a_Vol_1_63

Je ne vais pas m'embarrasser de balises spoiler pour cet oldie, alors si vous prévoyez de le lire, ce que je vous recommande, ça vaut ptet la peine de s'arrêter là.

L'histoire commence déjà de manière originale: on adopte la perspective d'habitants du futur qui visitent notre époque à bord d'un vaisseau temporel comme le feraient des touristes à bord d'un sous-marin pour observer les fonds marins. La Justice League n'est pas consciente d'être observée et ne se doute pas qu'elle est en train de vivre ses dernières minutes!!!
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C'est certain, puisque la fin de la Justice League est consignée dans le livre d'histoires comme survenant à ce jour! Mais avant que les badauds ne puissent assister à cet événement tragique, des impératifs techniques les rappellent à leur siècle, et le lecteur est laissé seul avec les super-héros qu'il chérit, en proie à l'inquiétude: se pourrait-il vraiment que ce soit la fin?

Le méchant de cet épisode est The Key (la Clé), déjà apparu dans le Justice League of America #41 trois ans plus tôt. Depuis le précédent épisode, il s'est fait plus redoutable, puisqu'une clé lui suffit à canaliser ses pouvoirs télépathiques là où il avait besoin d'une encombrante installation pour contrôler les membres de la Justice League lors de leur dernière rencontre.

Petite parenthèse sur The Key. Ce méchant sera choisi par Grant Morrison pour être l'antagoniste principal de son second arc sur le titre JLA. Méconnaissable, il apparaît comme une sorte de zombie là où son design était articulé durant le Silver Age autour du gimmick qui lui donnait son nom. Le sommeil artificiel dans lequel il place les membres de la Justice League est l'occasion pour Grant Morrison d'esquisser des elseworlds savoureux - Superman devient un porteur d'anneau! De tête c'est à Roy Harper qu'incombe la tâche de contrecarrer les plans de The Key dans le satelllite.

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The Key revient beaucoup plus tard dans la série JLA sous la plume d'un autre auteur plus quelconque dont j'ai dû googler le nom - Bob Harras - pour une apparition non-dénuée d'importance puisque c'est le tout dernier arc du titre, qui s'achève avec le numéro #125 et la dissolution définitive de cette itération de la Ligue (en fait déjà entérinée dans la série depuis quelques numéros si mes souvenirs sont bons). J'ai des moins bons souvenirs de cet arc qui traîne en longueur, où Bob Harras essaie avec peine de nuancer le personnage de The Key en le présentant comme une victime du bombardement de pensées auquel l'exposent ses capacités de télépathe - alors qu'il massacre à la chaîne des innocents via des attaques psychiques. Long story short, il manque de libérer un des Sept Péchés Capitaux (oui ceux du Captain Marvel) pendant que Batman et Green Arrow s'entretuent à coups de répliques illustrant la déliquescence de la Ligue, entre références au système de surveillance mis en place par Batman (OMAC) et à Crise d'Identité. C'est pénible à lire parce que les tensions sont un peu forcées et pas très bien écrites, et c'est Dawn (la femme de Manitou Raven) qui save the day, or je trouve ce personnage (et feu son mari) assez inintéressants, et ce n'est pas les galipettes tombées du ciel qu'elle s'offre avec Oliver Queen qui lui donneront à mes yeux l'épaisseur dont elle manque.

Mais retour au Silver Age! The Key, humilié par sa précédente défaite, a cette fois mis au point un plan dont les membres de la Justice League of America ne pourront jamais s'échapper! Il donne l'injonction télépathique aux super-héros de ne pas s'échapper de leur sanctuaire. Dans un second temps, il intime à chacun de concocter un plan imparable pour se débarrasser d'un autre membre de la Justice League qui lui est assigné en secret.
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Ca n'empêche pas les membres de la Justice League d'essayer par tous les moyens de s'extirper du sanctuaire à peine la transmission du message terminée. Hélas: l'implant télépathique de The Key est trop puissant, et chacune de leur tentative est vouée à l'échec. L'heure tourne et s'ils ne trouvent pas de porte de sortie avant une heure, ils craignent un bain de sang!

Mais que fait Superman? Dans une astuce toute-Silver Age (alors qu'on est assez tardif là...), l'Homme d'Acier se met à courir sur lui-même, comme un chien qui tenterait d'attraper sa queue, à toute vitesse. Disparaissant aux regards, avant de réapparaître assis, confortablement appuyé sur sa main, décontracté, il demande à ses collègues quelle est l'urgence...
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En réalité, ce Superman vient du passé, précisément de trois ans auparavant. Il a pris la place de l'actuel puisque deux Superman ne peuvent pas exister dans la même timeline (une règle variablement respectée au gré des besoins du scénariste). Car en effet, si Superman n'avait pas le droit de se déplacer dans l'espace, il avait le droit de se déplacer dans le temps! Une subtilité que je trouve assez bien trouvée. Les membres de la Ligue expliquent donc au Superman du passé la situation, et celui-ci entreprend manu militari de les sortir du sanctuaire contre leur gré, dans une scène franchement cocasse (notez en particulier la posture de Ray Palmer):
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C'est assez rare que Superman soit mis en valeur dans les aventures de la Justice League of America, il y avait des raisons éditoriales à ça ("Mort Weisinger [éditeur des titres Superman] et Jack Schiff [éditeur des titres Batman] didnt want us to [use them]. They thought I'd overexpose the characters." déclarait Gardner Fox dans un interview au magazine Batmania #22 en 1977), aussi, c'est d'autant plus savoureux de le voir pour une fois tenir le premier rôle en baladant les autres membres de la Ligue comme des fétus de paille. Les membres de la Ligue vont alors à la rencontre de The Key et se battent contre ses sbires - Snapper Carr est même de la partie, équipé de gants de boxe verdâtres créés par l'anneau de Green Lantern (!). Bientôt, le rôle de Superman sera encore davantage mis en avant puisque, réalisant que les soixante minutes touchent à leur fin, il se retourne subitement contre les membres de la Ligue et les met K.-O. en un tour de main pour éviter qu'ils ne commencent à s'entretuer (comprend le lecteur).
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Il se débarrasse ensuite avec une facilité similaire des sbires de The Key, avant de s'approcher de ce dernier en consentant à le sauver de l'explosion prochaine de sa clé à condition qu'il libère ses amis de son emprise télépathique. La scène n'est pas sans saveur, et donne à The Key un léger soupçon de personnalité dont les adversaires de la Ligue étaient en général en privés à cette époque:
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Il consent finalement à les libérer. Mais le numéro ne se termine pas avant de lâcher quelques autres surprises. Primo, c'était Snapper Carr qui devait se charger de l'élimination de Superman, en utilisant la clé récupérée comme trophée lors de leur premier affrontement avec The Key. Recouverte de plomb, elle était en réalité faite de kryptonite. On peut y voir peut-être le signe avant-coureur de sa trahison prochaine sous la plume de Dennis O'Neil... Superman n'ayant fait qu'une bouchée de la Ligue pour la mettre hors d'état de se nuire, Wonder Woman et Green Lantern avouent leur soulagement à ne pas avoir dû affronter l'Homme d'Acier si celui-ci avait été intimé télépathiquement de s'attaquer à un des ses amis. Chacun d'entre eux estime que ses pouvoirs individuels n'auraient pas suffi à neutraliser l'Homme d'Acier.

Mais justement, comment s'est débrouillée la Justice League du passé pour neutraliser le Superman du présent? Celui-ci, bien que trois ans dans le passé, est toujours assigné à résidence à l'intérieur du Sanctuaire par les ordres télépathiques de The Key, et devrait être théoriquement contraint après une heure à s'en prendre à un des membres de la Ligue - lequel se révèle être Batman!

Le Superman du passé retourne à son époque et échange sa place avec le Superman du présent, qui révèle alors qu'il a été inspiré par les mots de Green Lantern et de Wonder Woman, lorsqu'ils avouaient ne pas être sûrs de pouvoir le neutraliser individuellement - mots qu'il a entendus trois ans auparavant lorsque son moi du passé s'était rendu dans le futur! Arrivé dans le passé, il a alors demandé à Green Lantern et à Wonder Woman d'unir leurs efforts pour, ensemble, l'empêcher de s'en prendre à Batman une fois le compte à rebours écoulé.
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Epilogue avec un retour sur les visiteurs du futur qui réalisent qu'ils ont été trompés par leurs souvenirs: évidemment que la Justice League avait survécu à cette menace comme elle avait survécu aux précédentes!! Mais un doute subsiste dans le coeur du lecteur... est-ce qu'il faut imputer cet "oubli" à une distraction momentanée... ou est-ce que l'ingéniosité de la Justice League fut telle que le cours de l'histoire en fut modifié? :riddler:
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Franchement, j'ai été super enthousiasmé par cette histoire, qui a tout ce qu'il faut pour, à mes yeux, faire un bon numéro du Silver Age: méchant passé à la postérité grâce à une réprise moderne, voyages dans le temps, péripéties inattendues, parade astucieuse pour contrer les plans du méchant, scènes franchement cocasses, et mise en avant trop rare de Superman au sein de la Justice League du Silver Age. Je recommande :)

PS: Je vois que Kurt Busiek avait écrit "une suite" à cet épisode dans le Justice League of America #240 (https://dc.fandom.com/wiki/Justice_Leag ... _Vol_1_240, mais je ne l'ai pas lu. S'il y en a parmi vous pour qui c'est le cas, curieux d'avoir un avis
PPS: Je remarque aussi que "l'auteur quelconque dont j'ai dû googler le nom" est entre temps devenu Editor-in-chief chez DC Comcis :S
PPPS: Je vous mets en bonus le courrier des lecteurs du numéro en question (https://i.imgur.com/LckjoAh.jpg) où un certain Marvin Wolfman prend la parole pour appeler les scénaristes à utiliser le méchant le plus retors qu'on puisse imaginer: l'exclusion sociale. Un autre lecteur se plaint de l'absence de caractérisation de Gardner Fox, signe d'un renouvellement du lectorat.
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TheRiddler
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Re: Justice League of America (1960)

Message par TheRiddler »

Je liste quelques surprises que j'ai eues sur ce titre qui intéresseront peut-être certains membres de ce forum en soif de trivia:

- Justice League of America #51 (février 1967)
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Zatanna team-up avec la Justice League pour la première fois. Première rencontre entre Zatanna et Batman, même si le numéro s'autorise une retcon pour faire du Detective Comics #336 (février 1965), où Batman et Robin croisent le fer avec une sorcière, le numéro de cette première rencontre. A noter que ce dernier est collecté avec le Justice League of America #51 et d'autres teams-up de Zatanna avec, successivement, Hawkman, Atom, Green Lantern et Elongated Man dans le tpb JLA: Zatanna's Search, qui recueille les premières aventures de Zatanna depuis son apparition jusqu'à ses retrouvailles avec son père, secouru avec l'aide de la Justice League dans ce numéro #51 précisément.

- Justice League of America #71 (mai 1969)
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Dans ce numéro, Dennis O'Neil approfondit la backstory du Martian Manhunter qui n'avait été que peu explorée auparavant. Il est amusant de relever que J.M. DeMatteis et John Ostrander, à qui on doit l'essentiel des contours de la version moderne du personnage, ne retiendront pas grand-chose des ajouts amenés ici par Dennis O'Neil.

Dans ce numéro donc, le créateur de Ra's Al Ghul apprend au lecteur que le Martian Manhunter était sur sa planète un "military science leader". Avant l'arrivée de J'onn J'onzz sur Terre, Mars était engagée dans une terrible guerre civile entre les "Desert Dwellers" (gentils) et les "Pole Dwellers" (méchants). On notera que ces derniers sont représentés avec la peau blafarde - on peut peut-être y voir une source d'inspiration pour Grant Morrison au moment de créer les Martiens Blancs qu'il opposera à la Ligue dans son premier arc sur le titre JLA.

J'onn est défait lors d'un combat à mains nues contre le Commandant Blanx, leader des "Pole Dwellers", et condamné à 13 ans d'exil, à la fin de la première année duquel il sera accidentellement téléporté sur Terre. Dans cette version, J'onn n'est ainsi pas le dernier de son espèce. Mais un bref retour sur sa planète d'origine lui apprit plus tard que son monde avait été ravagé par une flamme bleue libérée par la folie meurtrière de Blanx. Il aide alors les derniers de ses compatriotes à embarquer sur un vaisseau spatial gigantesque, et liquide Blanx lors d'un duel titanesque. Désormais seul sur Mars, il fait ses adieux à la Ligue pour partir à la recherche de l'arche de Noé spatiale où ont embarqué les derniers de son espèce.

Ce numéro signe le départ du Martian Manhunter de la Ligue (!) Il apparaîtra sporadiquement dans les titres DC pendant les quinze années qui suivirent, et ne rejoindra à nouveau la plus grande équipe de super-héros de tous les temps en 1984 seulement. J'ignorais tout de cette absence prolongée, tout comme j'ignorais que le statu quo J'onn J'onzz - dernier survivant de son espèce, n'avait pas toujours été la règle.


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Je passe brièvement sur la Crise contenue dans les numéros #73-74, que j'avais déjà lue dans le second volume des Crisis on multiple earths. Elle est d'une importance non négligeable puisqu'elle signe la première apparition du Superman de Earth-2, la mort de Larry Lance (le mari de Black Canary) et le départ de celle-ci pour Earth-1, où elle prendra la place de Wonder Woman, victime brièvement des impulsions féministes maladroites de Dennis O'Neil. Je note au passage que le numéro suivant, #75, signe la première apparition du Green Arrow redesigné par Neal Adams au sein de la Ligue, tout en ajoutant le cri sonique à la galerie de pouvoirs jusqu'ici limitée de Black Canary.
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- Justice League of America #80-81 (mai 1970)
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Dans cet arc, la Ligue doit affronter le Jest-Master, qui parcourt la galaxie dans le but de trouver une civilisation capable de résister à la folie qu'il est capable de propager. C'est finalement grâce à Jean Loring, la femme d'Atom tristement rendue célèbre par son rôle dans Identity Crisis, que la situation trouve une issue: Jean Loring étant brièvement devenue folle depuis le numéro #45 de Atom & Hawkman*, l'influence du Jest-Master lui redonne la raison au lieu la lui faire perdre. Je mentionne cet arc puisqu'il crée un précédent dans le DC Universe: Jean Loring a déjà perdu la raison. Je n'aurais pas cru Brad Meltzer assez curieux pour creuser dans les annnales du DCU avant de laisser libre cours à sa retcon-mania, mais je crois qu'on peut y voir une source d'inspiration pour son Identity Crisis!


- Justice League of America #84 (novembre 1970)
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Le jour où Black Canary fut capable de lire dans les pensées.
C'est pas des blagues. Robert Kanigher, proche de la retraite, prend les commandes du titre Justice League of America le temps d'un numéro franchement médiocre où, sur les traces de Dennis O'Neil qui avait doté Black Canary du cri sonique, il confère à cette dernière la capacité de lire dans les pensées.
IMAGE A VENIR
Ce numéro fait un peu tache, avec ses tentatives maladroites de faire du character building dans une ambiance générale silver age démodée (Dennis O'Neil avait fait complètement basculer le titre dans le bronze age), ou avec ses efforts pour nuancer les ambitions clairement caricaturales du vilain. Kanigher nous gratifie d'ailleurs d'un baiser sorti de nulle part entre Batman et Black Canary, alors qu'auparavant Dennis O'Neil avait déjà amorcé le rapprochement de Black Canary et de Green Arrow.
IMAGE A VENIR
Je remarque au moment d'écrire ces lignes que je ne suis pas le premier à tiquer sur ce numéro: https://www.cbr.com/black-canary-sonic- ... telepathy/
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Pour avoir restauré les pouvoirs de Wonder Woman avant de prendre sa retraite quelques années plus tard, on pourra pardonner au créateur de Barry Allen ce petit faux pas dans sa carrière.

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*L'explication de la folie de Jean Loring pour les curieux:
Dans le Atom & Hawkman #45, une race d'aliens miniaturisée pour échapper à une épidémie il y a des années kidnappe Jean Loring, descendante de leur reine originelle, et lui fait perdre la raison parce que, selon la tradition, la régente doit être "free of woe and care". Team-up plutôt sympa des deux super-héros qui donne envie d'explorer le titre "Atom & Hawkman". On relèvera en particulier une baffe de Ray Palmer à Jean Loring :
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Et un courrier des lecteurs où deux futurs scénaristes, Mike W. Barr (Batman: Year Two, Batman: Son of the Demon et Batman & The Outsiders) et Steven Grant (The Punisher) prennent la plume pour écrire à l'éditeur: https://i.imgur.com/TUstPh8.jpg
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Re: Justice League of America (1960)

Message par DarkChap »

Très intéressant, ça.

Je n'ai malheureusement lu le run de Dennis O'Neil que par extraits, via des TP thématiques ou l'achat de singles ça et là (récemment, j'ai par exemple pris et lu le #77 vu qu'il est sans cesse référencé dans le très solide Hourman de Tom Peyer, qui a pour sidekick Snapper Carr).

Maintenant, vu ce que tu en dis là, il faudrait sans doute que je finisse le run en prenant les numéros qui me manquent (en particulier ce #71 sur le Martian Manhunter).
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Re: Justice League of America (1960)

Message par TheRiddler »

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Vittorini
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Re: Justice League of America (1960)

Message par Vittorini »

Faut que je m’imprime ça en HD. Merci pour le partage Riddler (toujours un plaisir de revoir notre ambassadeur suisse favori :sleep).
The Zizi Too Fast Squad likes this message
Resendes a écrit : 22 oct. 2021 14:16 Jute 2 secondes
Resendes a écrit : 19 juil. 2023 15:05 Ah oui tu es chaud ! Je t'envie haha
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Re: Justice League of America (1960)

Message par TheRiddler »

Vittorini a écrit : 04 mars 2021 12:39 Faut que je m’imprime ça en HD. Merci pour le partage Riddler (toujours un plaisir de revoir notre ambassadeur suisse favori :sleep).
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mavhoc
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Re: Justice League of America (1960)

Message par mavhoc »

TheRiddler a écrit : 10 mars 2021 14:09
Vittorini a écrit : 04 mars 2021 12:39 Faut que je m’imprime ça en HD. Merci pour le partage Riddler (toujours un plaisir de revoir notre ambassadeur suisse favori :sleep).
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Je confirme le plaisir de retrouver ta personnalité et tes messages :)
Vittorini a écrit : likes ce message
mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ? :lol:
Ok là je me couche.
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