DC Comics : Le Bazar des Lectures

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DarkChap
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par DarkChap »

mavhoc a écrit : 29 juin 2020 14:00 Aujourd'hui, je sors du carton une lecture un peu inhabituelle avec le premier numéro de la série Terra de 2009. Au scénario on a Palmiotti et Gray tandis que Conner fait le dessin dans son style tout à fait classique.
On s'intéresse ici à la troisième Terra, Atlee. Alors, je dois dire que j'ai été surpris de découvrir que le personnage ne datait pas de 2009 mais de 2007, via la série Supergirl. Cela dit, pour moi cette troisième Terra a toujours été un personnage profondément anecdotique. Malgré le fait qu'elle ait sa propre personnalité et qu'elle soit bien distincte de la Terra historique, le manque de récits dessus n'a pas aidé.

La mini-série de 2009 avait pour but d'assumer le lien avec Terra et de faire d'Atlee la nouvelle side-kick de Power Girl. En ce sens, la série est vraiment à lire, je pense, pour les fans du personnage. On a clairement un lien assumé dans l'ambiance, dans le graphisme (évidemment) dans la mise en scène avec la Power Girl de Palmiotti et Conner. On est très loin du côté fou que les auteurs développeront avec Harley Quinn et bien au contraire, le récit s'ancre clairement dans l'univers de fiction qu'est DC tout en respectant la cohérence et en proposant des personnages bien définis.
Peut être même trop bien définis tant le bad guy du récit apparaît avec une mise en scène stéréotypé et sans saveur. L'ensemble repose sur des grosses ficelles et malgré l'intrigue autour de Atlee, je doute qu'on puisse vraiment avoir envie de lire ce récit sans être déjà intrigué par le personnage ou fan de Power Girl qui marque le numéro de sa présence.
Je suis vraiment surpris qu'Atlee existait déjà avant, ce qui pour moi fait baisser la qualité du numéro tant en premier numéro pour lancer le personnage, comme Booster Gold, je trouve que ça aurait eu plus de gueule et plus donné envie de lire la suite.

J'ai lu la minisérie il y a bien 6-7 ans et j'en garde d'assez bons souvenirs en fait, dans la continuité du travail de Palmiotti, Gray et Conner sur Power Girl.

Quant à l'introduction du personnage en 2007, c'était vraiment juste un one-shot de l'équipe sur le titre Supergirl, sans doute dans l'unique but d'introduire le personnage dans une série existante, afin de s'assurer que, quand ils réutiliseraient le personnage, au moins une partie des lecteurs seraient familière avec elle, mais Palmiotti, Gray et Conner ne sont pas restés sur Supergirl et entre le numéro de Supergirl et sa minisérie, il ne me semble pas que Terra ait fait grand chose, en dehors d'apparitions très minimes dans les séries Titans.
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mavhoc
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par mavhoc »

DarkChap a écrit : 29 juin 2020 15:11
Quant à l'introduction du personnage en 2007, c'était vraiment juste un one-shot de l'équipe sur le titre Supergirl, sans doute dans l'unique but d'introduire le personnage dans une série existante, afin de s'assurer que, quand ils réutiliseraient le personnage, au moins une partie des lecteurs seraient familière avec elle, mais Palmiotti, Gray et Conner ne sont pas restés sur Supergirl et entre le numéro de Supergirl et sa minisérie, il ne me semble pas que Terra ait fait grand chose, en dehors d'apparitions très minimes dans les séries Titans.
Il me semble que c'est à peu près cela. Ca a cependant un côté surprenant dans le sens où cette mini-série semble vraiment vouloir introduire le personnage de A à Z ... Alors qu'on est réalité plutôt à C :mrgreen:
En tout cas, tout comme toi je trouve ça assez sympathique et très typique des travaux de Palmiotti et Conner de l'époque.
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mavhoc a écrit : juste , peut être, mettre de l'eau dans ton vin ? :lol:
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Vittorini
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par Vittorini »

Lu Superman #640-653 et Action Comics #837-840, soit toute la saga Up, up, and away ! écrite par Kurt Busiek et Geoffrey Johns.

Pas besoin de faire un gros résumé, ça fait partie de la fameuse initiative 1 Year Later, et on retrouve Clark, privé de ses pouvoir, dans un récit somme toute plutôt léger, ce qui contraste (peut-être trop ?) avec le sordide de l’ère post-Infinite Crisis.

Il n’empêche, c’est toujours un récit appréciable à lire et relire, tant le duo de scénariste s’est appliqué pour ce retour aux fondamentaux. Riche idée d’ailleurs de profiter de la perte des pouvoirs pour enfin redéfinir Clark et ce qui fait le sel des aventures de Superman. De fait, on voit bien qu’on peut se passer de capes et de collants, puisque la moitié du récit tient sur les seuls exploits journalistiques de Clark.

Bien évidemment, les pouvoirs finissent pas revenir et, en bon adorateur de Richard Donner, Geoffrey propose un Superman et une société kryptonienne plus proche de ce qu’on a pu voir dans les films.

C’est drôle, distrayant, bien écrit, intéressant, surtout lorsqu’il est question de suivre les manigances de Luthor, tout ce qu’il fallait pour relancer un personnage qui, sans parler d’égarement, a peut-être pris un peu trop de distance avec ce qu’on peut s’attendre à trouver dans ses publications, et ce depuis quelques années (au moment de la publication).

Tant pis pour les virées en Amazonie ... :sleep
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Resendes a écrit : 19 juil. 2023 15:05 Ah oui tu es chaud ! Je t'envie haha
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mavhoc
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par mavhoc »

Il fallait bien que quelqu’un se dévoue pour lire DC’s Verry Merry Multiverse. Un numéro spécial de 80 pages, sorti en décembre 2020 pour célébrer Noël.
Pour ne pas créer un nouveau topic juste pour un numéro, je me permets donc de faire revivre ce topic.

J’ai décidé de lire ces 10 récits issus du Multivers DC pour Noël avec cette thématique festive et joyeuse pour unir les récits. Bon, on ne va pas se mentir, je l’ai surtout acheté parce qu’il y avait Batman Beyond et Booster Gold, deux de mes personnages préférés.
Chaque récit ne faisant que 8 planches, aura-t-on du contenu qualitatif ou rien de bien intéressant ?


Le premier récit présente Harley Quinn suicidaire qui va voyager à travers le multivers pour voir que sa vie a du sens. C’est très plat et mal écrit malgré la volonté de copier A Wonderfull Life. Si on s’amuse avec Earth-42, Earth-50, 45 et 33 n’ont aucun intérêt, aucun ajout digne de ce nom. C’est vraiment idiot et banal.
Un récit qui, surtout, aurait dû être bien écrit vu la facilité scénaristique ici, mais non.


Pour le second récit, on retrouve Batman Gaslight qui va tenter de sauver les jouets de Noël des enfants de Plastic Man, ici un criminel qui, peut-être, changera de camp après sa rencontre avec le Batman. Très bref comme récit, l’action forçant finalement a avoir un peu de vide, on peut cependant être réellement satisfait de voir l’univers Gaslight progresser avec un ajout finalement plutôt efficace en seulement 8 pages.


Pour le troisième récit, c’est sur Earth-11 que l’on arrive, avec la Justice League de cet univers (où les sexes sont inversés) possédés par Starrla. Les enfants de ceux-ci vont devoir sauver leurs parents, formant ainsi la première apparition de Teen Justice dans cet univers.
C’est très anecdotique pour une terre qui l’est, finalement, tout autant dans le multivers DC disons le. À part Aquawoman tous ces personnages sont assez oubliables dans le Multivers et ce n’est pas celle qui est le plus mise en avant, loin derrière Robin et Supergirl de cet univers, qui sont ici présentées de manière très enfants plus que Teen.
En soi, ce n’est pas mauvais, mais on est dans le domaine du « très anecdotique », pas sûr qu’il y ait le moindre fan pour un récit sur cette équipe créée pour l’occasion.


Pour moi le soucis ici est d’une certaine manière pire avec l’histoire sur Earth-23. La volonté de faire des histoires courtes sur Noël confine ici à une énorme dose de bonne humeur, de douceurs sucrées de Noël, au point où pour moi cela devient non indigeste, mais finalement trop artificiel.
Cela sonne juste et fonctionne bien avec l’esprit Superman, mais perd trop le degré réaliste de Earth-23 pour devenir un pur et simple conte, ce que je n’adore pas tant que cela.


Arrivé à mi-parcours, c’est l’univers de Batman Beyond qui est mis à l’honneur dans un récit fort en symbole mais faible par la forme. Si on apprécie de retrouver visuellement l’univers Beyond de manière forte, avec une planche entière faisant référence à Return of the Joker, on regrettera l’utilisation d’un Chant de Noël de manière si faible et gratuite.
Pris par les radiations radioactives, Terry va halluciner rapidement, sans enjeu ni tension, dans le monde de Dickens, voyant le passé de Batman, le présent sans Batman et le futur qui est dessiné pour l’univers Beyond. La cohérence du numéro avec l’histoire de Dickens est vraiment mal assurée, c’est plus une référence gratuite qui ne parvient pas à produire quoique ce soit mais est un hommage agréable et chaleureux à l’univers de Batman TAS et surtout, une belle marque d’amour sur la dernière case, c’était très beau ça, comme cadeau que l’univers Beyond fait aux fans.


La ligue des Ombres dans Night of the Magi utilise la situation magique de Earth-13 pour créer une menace magique en lien avec une version maléfique de Noël, tout à fait dans le côté morbide de cet univers qui n’est pas maléfique lui-même mais pas non plus si rassurant.
Le récit sert surtout à présenter la version Earth-13 de Ragman.
Personnellement, je n’ai jamais été fan de cette Terre, mais force est de constater qu’ici DC frappe fort en profitant d’un numéro spécial pour purement et simplement créer un background intégral à un membre de la Ligue d’une terre alternative. Graphiquement sombre, très différent du reste du recueil, ce numéro est une sorte de must-have pour les fans de Earth-13.


Earth-29, le Bizarro-World, est au centre du récit suivant. Dans un monde où la normalité est la pire chose, quoi de plus étrange qu’aimer Noël puisque ailleurs cela est normal ?
Bref, si je peux comprendre Bizarro seul, le Bizarroworld rend ma lecture impossible réellement dans le sens où je ne comprends jamais où sont les vraies et fausses négations. Tout inverser ne donne pas plus de sens que le texte d’origine et si certains personnages ont le droit à une caractérisation permettant de mieux comprendre (et un texte plus soigné, au hasard les passants et surtout Bizarro), d’autres semblent totalement incompréhensible dans le détail, comme Batzarro.
N’ayant jamais été trop fan de ce concept, j’avoue n’avoir pas trop aimé ce numéro.


L’histoire d’après est sur Booster Gold. Forcément, je ne peux que aimer. Mais si on ne fait pas attention à une information de la seconde planche, le récit à l’air assez étrange.
Booster est engagé pour remplacer d’autres grands super-héros pour une mission urgente, le soir de Noël. Cette mission ? Serveur dans un fast-food spécial héroïque.
Sauf que Maxwell Lord tente de le tuer. Le dangereux psychopathe n’est arrêté que par le courage des autres serveurs, bien décidés à être aussi des héros.
Finalement, Maxwell et Booster boivent un verre ensemble, célébrant ce plan pour rendre honneur aux serveurs tout en permettant au public de voir un combat super-héroïque. Mais cela n’est qu’une manière de ne pas oublier la personne la plus héroïque : Blue Beetle, avec qui Booster reconnaît avoir brillé au même niveau que les grands héros.
Pas incompréhensible, le récit ne prend pourtant toute sa compréhension qu’à partir du moment où on remarque que cela se passe sur Earth-22 : la Terre de Kingdom Come.
Dès lors, Maxwell Lord n’est pas le même criminel, Booster n’est pas le protecteur du flux temporel et finalement on perd un peu toute la puissance du récit même si la fin est touchante. Après tout, avec Booster, il y avait moyen de bien mieux faire.


J’avoue que le neuvième récit a dû en surprendre plus d’un. Mettant en scène Prez, je pensais à la version contemporaine, alors qu’il s’agit bien de la version Earth-47, dans une ambiance très Flower Power. Prez, version d’origine, va alors organiser une grande fête télévisuelle de Noël.
Ici, Noël va être fêté par le Love Syndicat composé notamment de Sunshine Superman, qui rend folles de désir les fans, Speed Freak, qui reprend Nancy Sinatra, Shooting Star qui – ne comprenant rien à rien – fait rire tout le monde, Magic Lantern, qui n’a rien de magique et enfin Pandar.
Si cette histoire ne propose finalement pas grand-chose de concret, je l’ai trouvé extrêmement bien écrite, retrouvant totalement la critique télévisuelle et politique propre à Prez mais avec un tel sourire et une ambiance si 60’s que l’on peut passer outre pour ceux qui ne voient pas la critique politique.
C’est un véritable régal dans l’écriture et le genre de surprise que l’on aime.


Enfin, le Main Man conclut ce recueil, avec King au scénario. Ce-dernier ne peut s’empêcher de donner un côté tragique à Lobo, avec une sorte de doute final sur la conception qu’il a de lui-même. Pour autant, on ne tombe jamais dans les mêmes erreurs d’Out of Character que Mister Miracle.
La raison tient à la qualité d’écriture de Lobo, toujours maîtrisé.
Les Dominators ont décidé de conquérir intégralement un secteur. Manque de chance, il y a des dauphins sur cet endroit. Lobo décide donc que si la conquête à proprement parler n’est pas son sujet, défendre ces animaux l’est. Lobo se lance donc dans une guerre galactique gigantesque, dans une ambiance très Lobo, à la fois fun et violente, avec notamment une planche très drôle montrant que petit à petit, le faux-héro se prend au jeu.
Une histoire simple mais drastiquement efficace laissant supposer aussi une certaine profondeur. Lobo est capable de poésie et d’intelligence sur lui-même, mais dans un seul cadre : avec les dauphins. Le reste du temps, il est lui-même comme nous le connaissons. Cela permet de transcender le personnage sans rien faire d’incohérent.



Un numéro intéressant donc, malgré une couverture qui montre Captain Carrot, Superman-Beyond et Green Lantern-Beyond qu’on ne voit pas. Si certaines histoires sont totalement oubliable, on appréciera cependant la volonté globale de faire vivre le multivers et non pas de mettre toujours en avant la trinité.
Un numéro un peu cher pour ce qu’il est, mais offrant quelque chose de si différent que les amoureux du Multivers passeront un moment tout de même agréable.
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par Alakazou »

Superman secret origins c’est correct mais Johns colle trop à l’esthétique de superman de Donner ce qui rend mon expérience un peu moins bonne. J’aurais aimé un truc plus réinventé. L’écriture un peu trop naïve et cheesy par moment rendait la lecture moins agréable. Sinon dans son ensemble c’est plaisant.

Prochaine lecture superman birthright que j’avais oublié avoir acheté.
Vittorini a écrit : Admettons qu'un film Flash finisse par sortir avant la prochaine décennie : Je suis pas certain d'aller le voir.
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par DarkChap »

Lu le graphic novel Batman 3D, sorti en 1990 et vendu avec une paire de lunettes en carton.

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L'essentiel du graphic novel est dédié à une nouvelle histoire, Ego Trip, écrite et dessinée par un John Byrne en forme.
On y suit Batman affrontant le Joker, le Riddler, le Penguin et Two-Face et l'amenant à être confronté à une suite de péripéties prenant le plus souvent la forme de pièges mortels desquels Batman doit s'échapper.
Le récit se déroule dans la continuité post-Crisis mais le ton et l'intrigue rappellent énormément le Bronze voire le Silver par moments et on sent que Byrne a cherché à produire un récit classique et intemporel.

L'album comprend également quelques pin-us par les artistes du moment (dont Mignola, Gibbons, Windsor-Smith, Aparo, Perez...) et la réédition d'une histoire du Golden Age de 1947, qui avait déjà fait l'objet d'une conversion 3D en 1953 (comme quoi ce genre de mode est cyclique).

Les effets 3D sont globalement réussis mais je reste assez peu convaincu de leur opportunité dans les comics et ce, d'autant plus qu'on y perd les couleurs et je suis assez surpris que ce récit n'ait toujours été réédité sans les effets 3D (comme a été immédiatement le cas pour le Superman Beyond 3D de Morrison et Mahnke).

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Skypaul
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Re: DC Comics : Le Bazar des Lectures

Message par Skypaul »

Je me lis Justice League of America, version relaunch de 2006 après Infinite Crisis.
J'avais lu les premiers numéros, le travail de Meltzer, y a un moment mais là j'avais envie de piocher un peu au hasard. Voir si y a des choses interessantes.
Et franchement y a des numéros très sympathique.

Comme ce numéro 20 dessiné par Van Sciver. Ca se lit tout seul, l'histoire tiens dans ce seul numéro et le peu d'action sert surtout à nous montrer la relation Wally/Diana, où en sont ces personnages avec quelques répliques franchement bien sentis.
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Et après ça l'arc Second Coming #22-26, Tornado a du être séparé de son corps, les plus grands scientifiques de la terre et Zatanna essaient de faire retourner sa conscience et son âme dans l'android, dans le même temps Vixen admet à la league qu'elle ne contrôle plus son pouvoir. Et Amazo démonte un à un les membres de la JL.
Et puis l'histoire s'emballe, reviens sur 52, sur le Animal Man de Morrison, sur Seven Soldiers ...
Ca va à cent à l'heure, on croise tous l'univers DC bien caractérisé, c'est un peu bébête avec de la comicbooks-science dans tous les sens. Et surtout c'est solidement dessiné par Benes dont j'aime beaucoup le travail.
Je vais continuer à fouiller la dedans.
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