[UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

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Resendes
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Resendes »

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Parademon
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Parademon »

Je choisis de voir dans cette image une forme d'hommage à Nicolas s.
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Sh@dow
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Sh@dow »

Resendes a écrit : 03 mars 2021 12:56

Image
Mon dieu, c'est dingue... On ne voit pas le temps passer. Quand tu es arrivé, tu avais une heure. Maintenant tu as moins !
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urbanvspanini10
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par urbanvspanini10 »

Day one pour soutenir son retour ! En espérant que la fin de cette série arrive cette année.
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Bonni
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Bonni »

urbanvspanini10 a écrit : 03 mars 2021 13:59 Day one pour soutenir son retour ! En espérant que la fin de cette série arrive cette année.
On peut espérer pour Noël
V'là le zinzin
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Sh@dow
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Sh@dow »

Pareil. Dès la sortie, je me jette dessus.
Mon dieu, c'est dingue... On ne voit pas le temps passer. Quand tu es arrivé, tu avais une heure. Maintenant tu as moins !
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Sasahara
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Sasahara »

Alors là pareil, Champagne! On a failli attendre !

Heureusement qu'il y a des films DC qui sortent pour susciter des sorties de comics !
( D'ailleurs ce film pourra-t-il sortir vraiment ? c'est un peu optimiste de l'affirmer!)
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Sh@dow
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Sh@dow »

On s'en fout des films, quand on a les comics !
Mon dieu, c'est dingue... On ne voit pas le temps passer. Quand tu es arrivé, tu avais une heure. Maintenant tu as moins !
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Resendes
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Resendes »

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Hellblazer
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Re: [UC : DC Nemesis] Les Archives de la Suicide Squad

Message par Hellblazer »

Un plaisir que de reprendre la suite de ce run, quelques quatre ans après la publication du deuxième tome.

C'est très facile de se replonger dans l'histoire, mais je dois avouer que j'avais oublié une partie des événements se déroulant dans les volumes précédents (Deadshot s'étant retrouvé enfermé à Arkham, Rick Flag ayant franchi une ligne et perdu un peu la boule...). Moindre mal, puisque l'histoire peut se permettre d'avancer sans devoir absolument tout se rappeler par cœur.

Donc.

Ce tome à lui seul condense tout ce que peut faire la Suicide Squad, toutes les missions dans lesquelles elle peut partir. On a du voyage sur une autre planète, une mission de secours non autorisée, une intervention dans une zone géopolitiquement chaude en roue libre et sans soutien, etc. La galerie de personnages s'est réduite par rapport aux aventures précédentes et, spoiler, ça va continuer un peu dans ce tome. L'équipe porte bien son nom.

L'un des gros changements, me semble-t-il, dans ce troisième tome, concerne Waller elle-même. Elle avait déjà commencé à chuter de son piédestal précédemment, mais cela se poursuit ici jusqu'à se retrouver dans une situation inhabituelle pour le personnage. Je préfère éviter de spoiler, mais c'est assez intéressant de voir l'évolution psychologique du personnage. Elle traversera plusieurs phases, plusieurs lieux, et finira par s'impliquer directement dans les missions de la Squad, en allant sur le terrain avec eux directement. Ce qui, dans mes souvenirs un peu vagues des tomes précédents, reste plutôt inédit.

Waller n'est pas la seule à devoir évoluer dans ses tomes. Arrivé à la moitié du tome, une ellipse nous projette un an dans le futur, et c'est cela qui va permettre à Ostrander de faire bouger un peu ses personnages. Il profite de cette durée pour donner à ses personnages le temps d'avoir fait des choses les éloignant un peu de l'équipe ou de leur travail habituel.
Vixen reprend son ancien travail de modèle et styliste (avec une petite virée à Paris), Tigre de Bronze se sera renfermé sur lui-même après avoir été brisé, Captain Boomerang se retrouve quelque peu exilé, le Comte Vertigo est devenu cinglé, Poison Ivy est enfermée, Deadshot est enfermé et est devenu cinglé... (y'a une thématique, non ?)

Ce laps de temps d'un an amènera également à un changement notable autour de la Squad et de sa manière d'agir. Ça rejoint entre autre ce que j'évoquais autour de Waller, mais là encore je vais éviter de trop rentrer dans le détail pour ne pas spoiler. Toujours est-il que ça permet de mettre en avant l'un des éléments que j'ai le plus apprécié dans cette lecture : la volonté de s'ancrer dans le réel (dans une certaine mesure évidemment).

Ostrander n'hésite pas à plonger ses personnages dans l'actualité de son époque, où l'on sent la fin de la Guerre froide, malgré des tensions géopolitiques encore très présentes (avec une histoire se déroulant à Jérusalem, que j'ai bien apprécié). De même, si on a toujours des pays inventés, particulièrement pour situer l'action au Moyen-Orient sans vouloir citer littéralement un état existant, l'auteur place tout de même certaines de ses histoires dans des lieux réels. Et ce n'est pas (plus ?) si courant chez DC, ai-je l'impression. En un sens, aujourd'hui, ça évite de taper toujours sur les mêmes pays, mais ça distancie aussi le propos, et ça pousse un peu à tourner en rond. Donc bref. Ici, c'était une bonne chose à mon sens. Avec cette équipe spécifiquement, ça fonctionne en tout cas très bien.

Bon... J'ai dû me perdre un peu en cours de route là, et je ne sais plus tellement que rajouter. Ah, si ! Ne pas oublier qu'il y a de l'humour dans ce run. On a des événements traumatiques pour beaucoup de personnages (coucou Oracle), des morts, tout ça, mais Ostrander n'oublie pas de placer des scènes drôles. Dans les interactions des personnages déjà (Deadshot et Boomerang forment un très bon duo humoristique), malgré les redondances autour de certains (Poison Ivy réduite à... pas grand chose d'intéressant), dans les petites histoires filées depuis le premier tome (le fameux entartreur)...
Cette touche de légèreté régulière ne vient pas diminuer l'impact de scènes importantes. Quand une mort a lieu, on n'en rit pas. Quand une menace est là, elle n'est pas annihilée par une blague. (Comment ? Qu'ouï-je ? Un tacle à Marvel ? Loin de moi cette idée. Cela va au-delà du MCU.) C'est juste, assez classiquement, une démonstration de la manière de faire varier le ton de l'histoire pour y apporter des variations. Les comics des années 90 en général on pu en manquer, ils auraient pu revenir un peu en arrière pour s'en inspirer.

Et cette fois je vais m'arrêter. En espérant que cet avis soit à peu près intéressant mais je ne promets rien !

Bye.

(Et sinon. "Les archives de la Suicide Squad" arrivent à leur terme. Bientôt. Donc... Urban... JLI tome 3 ? S'il vous plaît ?)
Rien n'est plus beau et pathétique qu'une voiture sur le toit, les roues tournant encore, inertie lancée à perte et extinction. Plénitude du geste qui se perd, dans lequel tout s'achève. Reflet d'un monde où l'on se meut à vide, où l'on n'avance à rien.
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