[UC : DC Renaissance] Suicide Squad

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Sasahara
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Sasahara »

Personnellement j'ai beaucoup aimé aussi le tome 2:

Image

Je suis surpris de voir que la review du site est assez négative ! Je ne sais pas ce que certains attendent d'une telle série, à part du divertissement et beaucoup d'action (et c'est ici le cas) ? A ma décharge je ne connais pas les autres versions de "Suicide Squad", alors je n'ai pas de point de comparaison (mais je prendrai volontiers la version "Archives" qui sort en aout pour approfondir)

Un petit bémol pour le dessin quand, à la défaveur d'un changement de dessinateur, Amanda Waller en particulier change complètement de tête, du moins de couleur de cheveux, ça craint quand même ! Mais déjà dans Justice League of America il y avait eu des problèmes avec Finch (d'une page à l'autre elle changeait de look)! Mais quand c'est Dallochio qui officie, c'est magnifique !
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Biggy
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Biggy »

Tome 1 lu.

Quand les New52 sont arrivés aux Etats-Unis et qu’Urban Comics a débarqué en France, je ne connaissais la Suicide Squad que de nom. Nom lu ici ou là dans des épisodes de Batman. D’ailleurs, nul doute que la série n’était pas prévu pour rentrer dans les séries têtes d’affiches à l’époque, l’équipe artistique étant assez anonyme. Et pourtant, le titre n’a cessé de prendre de l’ampleur, se bonifier, et les lecteurs VO ont fini par rendre jaloux ceux de la VF qui ne voyaient pas le titre arriver. Avec la sortie du film Suicide Squad cet été, Urban se décide à franchir le pas et nous proposer des publications Suicide Squad.
En me lançant dans cette lecture, l’impatience et l’excitation ont là, et pourtant, je ne sais pas du tout à quoi m’attendre.

Ils étaient condamnés à passer le restant de leurs jours derrières les barreaux, mais le gouvernement en a décidé autrement. Harley Quinn, Deadshot, King Shark et El Diablo font désormais partie d'un escadron suicide envoyé sur le terrain quand une mission s'avère trop dangereuse. Une équipe de super-criminels sacrifiables dont le premier objectif sera de venir à bout d'un stade peuplé de plusieurs milliers de spectateurs infectés. Par quoi ? Par qui ? La Suicide Squad est sur le coup !
(Contient : Suicide Squad Vol. 1: Kicked in the Teeth (#1-7))

Mais la Suicide Squad c’est quoi? C’est un groupe de super vilains, rassemblé par Amanda Waller. En échange de remises de peines, ils effectuent des missions à hauts risques et trop dangereuses pour des forces spéciales normales. Chaque membre est sacrifiable et cette bonne Amanda n’hésite pas à jouer avec ses criminels. Au programme, donc, des morts, du sang, des personnages immoraux, des situations extrêmes et donc un kiffe coupable génial.

Avec ce premier tome, signé Adam Glass, on rentre dans le vif du sujet avec une scène de torture des membres de l’équipe. Deadshot, King Shark, El Diablo ou encore Harley Quinn. Si certains ont du mal à résister, d’autres semblent s’amuser. Cela tombe bien, il s’agit du dernier test avant d’envoyer cette équipe de barges et de meurtriers sur le terrain.
Quoi de mieux pour nous faire comprendre l’absence de limite, le côté trash et aussi côté extrême (pour ne pas dire parodique), l’équipe, menée par Deadshot est larguée dans un stade, rempli de dizaines de milliers de personnes se transformant en quelque chose entre le zombie et le cannibale à cause d’un virus. La mission : trouver le patient zéro. Contrainte : aucune, les meurtres des civils ne sont que des dommages collatéraux. Problème : tous les membres de l’équipe n’ont pas perdu leur conscience, le patient zéro est enceinte !...

Le décor est planté ! La Suicide Squad tranche dans le vif et ne s’encombre point de la morale. Les corps s’entassent, le sang gicle, les têtes volent et les membres de l’équipe tombent comme des mouches. On les abandonne sans la moindre hésitation. Sans rougir, je dois bien reconnaître que ce genre de lecture, à la série B, est un petit plaisir coupable. Il est plaisant, de temps à autre, de mettre le cerveau en pause et de juste kiffer.
L’exemple parfait de ce côté extrême à outrance, c’est Harley Quinn, l’une des « révélations » des New52 est bien loin de l’image qu’on peut garder d’elle dans Batman la Série Animé. Loin de la petite rigolote on se retrouve avec un personnage sexy à outrance, limite trash, violente et ingérable. Elle passe d’ailleurs du rôle de chasseuse à celui de proie dans la seconde intrigue.

Avec sa narration, Adam Glass nous prend à la gorge et ne nous laisse aucun temps mort, au risque de devenir étouffant, suffoquant. Les missions s’enchaînent, les membres de l’équipe aussi et les rebondissements sont incessants. Si personnellement, je trouve cela plutôt plaisant à lire, et rapide, il est vrai que la surenchère de rebondissements peut être redondante par moment.
Le travail sur les personnages est quelque peu inégal, on sent bien qu’il y a des personnages centraux, comme Deadshot ou Harley Quinn, voir El Diablo. Mais cela reste en surface, le rythme d’Adam Glass ne permettant pas vraiment le développement personnel poussé des personnages. Personnellement, j’adore King Shark !
Dommage, aussi, de voir les événements de la série Batman de Scott Snyder venir gangréner ici aussi.

Graphiquement, rien de fantastique ni d’exceptionnel. Du classique, sans prétention avec pas moins de six artistes pour une unité graphique générale plutôt cohérente.

Bref, ce premier tome de Suicide Squad, s’il se laisse lire et propose un excellent divertissement défoulant, n’offre rien d’exceptionnel. On reste sur un récit se reposant sur de multiples rebondissements, une violence ultra présente, du sang en veux-tu en voilà.
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Sh@dow
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Sh@dow »

J’ai finis il y a quelques jours le tome 2 de Suicide Squad, nommé : « La loi de la jungle ». Si le premier tome avait bien réussi à m’emballer, il n’en est pas de même pour celui-ci.

Comme le souligne Sasahara au-dessus, quand la partie graphique est prise en charge par Dallochio, c’est magnifique. Ce qui n’est pas dit, c’est que malheureusement ça ne concerne qu’un épisode, soit seulement une vingtaine de pages sur pas loin de deux cents. Le reste oscille entre le correct et le passable (avec un Dagnino très inconstant).
En ce qui concerne la partie scénaristique, si le premier arc avait réussi à instaurer une certaine tension qui fonctionnait très bien avec le concept de l’escadron suicide, il en est tout autrement ici. L’escadron parcourt le monde à la recherche de Regulus, le chef de Basilisk, le groupe terroriste à l’œuvre lors du premier tome. Adam Glass use et abuse ici des poncifs habituels pour retourner les situations tellement de fois, qu’à la fin on en revient quasiment au statu quo initial.

Alors, si la lecture n’est pas déplaisante, reste qu’une fois le livre refermé, on n’en retient pas grand-chose.
Mon dieu, c'est dingue... On ne voit pas le temps passer. Quand tu es arrivé, tu avais une heure. Maintenant tu as moins !
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Biggy
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Biggy »

Tome 2 lu...
J’avoue que le premier tome de Suicide Squad aura été plus une déception qu’une bonne surprise pour moi. Il faut dire que j’attendais énormément de ce titre, dont tout le monde espérais l’arrivée en VF chez Urban Comics. Si les premiers tomes sont annoncés comme moins bon, j’espérais néanmoins quelque chose de plus fun et de moins classique.
C’est donc avec les mêmes attentes que je me lance dans ce second tome, espérant que la surprise soit meilleure, cette fois-ci.

Depuis sa dernière mission désastreuse, le doute plane dans les rangs de la Suicide Squad : un traître, surentraîné par le leader de l’organisation Basilisk lui-même, aurait infiltré l’équipe de super-criminels dans le but d’éliminer Amanda Waller. S’agit-il d’Harley Quinn, déjà très perturbée par la mort de son poussin, Monsieur J ? Ou bien Deadshot, dont le désir de mort aurait pu être utilisé à d’autres fins ? Sur le terrain, la tension s’intensifie.
(Contient les épisodes #8 à 13 et #0)

Dans le premier tome de Suicide Squad, nous tombions dans le bain, en suivant l’équipe, déjà formée, en pleine action, et dieu qu’il y avait de l’action, sans vraiment s’attarder sur les personnes, à quelques rares exceptions prêt, et il faut dire qu’il y a pas mal de roulement au sein de la Suicide Squad.

Ce premier tome reprend là où le premier a stoppé, la capture d’Harley Quinn, par Deadshot, après que cette dernière soit partie dans un trip délirant vis-à-vis du visage de son Monsieur J. Cette petite virée va nous avoir, passablement, énervé notre chère Amanda Waller, elle va donc serrer, encore un peu plus, la vis de son équipe !
Le personnage d’Amanda oscille, d’ailleurs, durant ce second tome, entre l’excellent et l’énervant. Qu’on l’aime ou non, Amanda Waller est un personnage charismatique, qui en impose quand elle prend la parole. Personnellement, j’aime beaucoup. Mais qu’est ce qu’elle est chia… dans ce volume, les trois quarts de ses répliques se résumant à « Je vais faire sauter la bombe dans ta tête si tu n’obéis pas ! ». Lassant, soulant, ennuyant, une véritable plaie, bien dommage.

La Suicide Squad traverse donc une petite crise, avec un traitre en son sein. Si aucun indice nous est donné, les soupçons se portent sur tout le monde. Mais les missions doivent continuer, malgré cette chasse aux sorcières. Entre la récupération d’un méta-humain ne pouvant pas mourir et le désastre de la suivante suite à l’explosion d’une bombe par Basilisk, rien ne se passe comme prévu et c’est même l’organisation de Régulus qui prend la mesure de l’équipe de Waller, voir de Waller elle-même.
Entre surprises, fausses-piste et retournements de situation, nous ne savons plus où donner de la tête !

Si tous les ingrédients d’une belle réussite sont là, j’ai trouvé ce second tome de Suicide Squad, tout aussi en-dessous de mes attentes que le premier. Rien d’extraordinaire, rien de véritablement prenant, un intérêt qui reste limité et toujours l’absence de ce petit grain de folie qui ferait toute la différence. Le travail sur les personnages est toujours autant absent. Vraiment dommage.

Au niveau des graphismes, à nouveau six artistes, aux styles bien différents mais avec tous un point en commun, nous offrir un travail très, très moyen.

Bref, je commence à perdre patience, ce titre est véritablement quelconque. Attention, je ne dis pas que c’est mauvais, mais pour le moment il ne m’apporte rien d’inédit, de palpitant, de plus que les titres que je lis déjà.
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Biggy
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Biggy »

Tome 3 lu.
Déjà le troisième tome de la série Suicide Squad version New52. Et si le titre n’est pas mauvais, il est d’un ennui mortel et affligeant. Je me contrefous royalement de ce qu’il s’y passe, les personnages ne transmettent rien, les intrigues défilent et il reste une impression de traverser le livre sans rien en retenir. J’espère, vraiment, que ce troisième tome va enfin faire éclater la petite flamme de l’intérêt…

Après le terrible affrontement mené contre Regulus et son organisation terroriste Basilisk, la Suicide Squad peine à remonter la pente. Deadshot, leur leader, s’est sacrifié pour son amour secret. Yo-Yo et Voltaic ont été assassinés, trahis par leur propre équipe. Harley Quinn, quant à elle, devra bientôt rendre des comptes à son ancien amant, Mister J, bien décidé à lui faire payer son infidélité.
(Contient les épisodes #14 à 23)

Deadshot est mort « en héros » si on peut dire, se sacrifiant pour le reste de l’équipe. Amusant d’utiliser le terme d’équipe pour la Suicide Squad, tant il n’y a aucun liant entre eux.
Heureusement que cet événement nous est rappelé en début de tome tant cela ne m’a pas marqué.

Les funérailles vont être quelque peu chamboulées alors que le Joker fait son entrée ! En effet, les premiers épisodes de ce troisième tome voient la saga Deuil de la Famille, de Snyder sur Batman, s’inviter. L’occasion d’un règlement de comptes violent entre les anciens amants clownesques. Ce sera, d’ailleurs, la seule chose intéressante de ce tome…

Pour la suite, nous assistons à une succession de morts, de résurrections, de re-morts et ainsi de suite… A tel point qu’on ne sait plus qui est en vie, qui est mort et qui va mourir lorsque l’on referme ce volume. Nous assistons, également, à l’arrivée, sans explication du fils Gordon et assistons, stupéfaits, à un élan d’amour qui sort de nulle part ! Il semble, également, que nous avons le droit à une coupure due à la mini-série Forever Evil : Argus, à vérifier.

Dans ce troisième tome, la guéguerre contre Basilisk continu de plus belle, avec de nouveaux ennemis et surtout de nouveaux alliés ! Je dois bien avouer que je ne me suis toujours pas remis de voir débarquer le Soldat Inconnu au sein de l’équipe. Une fois la surprise passé, on ne peut qu’être désolé et navré de voir si personnage culte être utilisé de la sorte…

Les missions se succèdent, sans que l’on ne comprenne tout, des personnages arrivent, sans que l’on sache comment ou pourquoi. On a l’impression qu’il manque des morceaux entre différentes scènes, entre différents chapitres. Et le pire dans tout cela, c’est que ce troisième tome est un supplice à lire ! Je n’ai strictement aucun intérêt pour le moindre événement s’y déroulant !

Graphiquement, cinq artistes. Cinq artistes allant du passable au vilain. C’est vraiment une unité graphique très faible et qui ne permet pas de rentrer dans le tome. Même Patrick Zircher est en petite forme.

Bref, sans doute le tome de trop. Non seulement je ne suis pas rentré dedans, une nouvelle fois, mais en plus je me suis fait ch… et j’ai trouvé cela drôlement faiblard ! L’impression de suivre les aventures, inintéressantes, d’un groupe de personnages dont on ne sait pas quoi faire…
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Biggy
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Biggy »

TOme 4 lu.

Plus les tomes passent et plus je me demande ce que la majorité des lecteurs ont pu trouver de génial à la série Suicide Squad !! C’est long, c’est pompeux, c’est ennuyeux… Les qualificatifs négatifs ne manquent pas pour décrire l’absence d’intérêt scénaristique. Je me dois d’être honnête, ce quatrième tome est chez moi plus par collectionnite aiguë que par envie de le lire. Mais je me suis dit que j’allais quand même jeter un œil voir comment cela se termine…

Les plus grands héros de la Terre ont disparu. Il ne reste que les criminels de la Suicide Squad pour défendre et protéger l’humanité.
De leur côté, Deadshot, Harley Quinn et Captain Boomerang sont missionnés par Amanda Waller afin d’empêcher qu’une arme puissante tombe entre les mains du génie, le Penseur. Mais celle-ci n’avait pas prévu son alliance avec Power Girl, Steel et le Soldat Inconnu…
(Contient les épisodes Suicide Squad #24 à 30, Suicide Squad : Amanda Waller #1, Justice League of America #7.1 et Detective Comics #23.2)

Ce quatrième tome de Suicide Squad se déroule durant Forever Evil ! La Justice League et les autres super-héros de la Terre ont disparu. Le monde est aux mains des méchants et du Syndicat du Crime ! Les seuls à pouvoir s’opposer à eux sont d’autres méchants ! Comme Lex Luthor !

Le tome s’ouvre avec deux épisodes spéciaux, l’un sur Deadshot, l’autre sur Harley Quinn ! Durant Forever Evil, les différentes séries de DC Comics étaient prises d’assaut par les vilains de l’éditeur ! Ainsi, Justice League of America #7.1 était renommé Deadshot #1 pour l’occasion. De courts récits nous proposants les origines, version New52, des principaux vilains de l’univers DC Comics. Hormis quelques perles intéressantes, tous ces épisodes se résumaient à deux choses : rien de nouveau ou rien d’intéressant !

Mais le cœur de ce quatrième tome, et des histoires le composant, se déroule à Belle Rêve ! La prison pour méta-humains, comme toutes les autres prisons du pays, ont été libérées par les membres du Syndicat du Crime, laissant les gardiens, à la merci des prisonniers ainsi libérés ! Amanda Waller se retrouve ainsi prisonnière des murs de la prison, à la merci du Penseur, avec pour seul allié, ce psychopathe de James Gordon Jr !

Amanda Waller, piégée avec un collier d’explosif autour du cou, joue une partie d’échec avec le Penseur ! Ce dernier, terriblement puissant mais avec un corps qui flanche, cherche un nouveau corps ! Et quoi de mieux qu’une O.M.A.C. pour allier l’esprit le plus brillant de la Terre avec le corps le plus puissant de la Terre ? C’est ainsi qu’il missionne une équipe pour trouver cet O.M.A.C. ! Steel, Warrant, le Soldat Inconnu ou encore Power Girl ! Mais Amanda n’a pas dit son dernier mot ! Et alors que King Shark est bien décidé à la bouffer ! Elle envoie, elle aussi, une équipe après le corps d’O.M.A.C., sa Suicide Squad ! Même si l’équipe se résume, maintenant, à Deadshot, Harley Quinn et Captain Boomerang.

Entre rebondissements, trahisons, révélations et double-jeux, on ne sait jamais sur quel pied danser durant ces épisodes.

Mais concrètement, franchement, il n’y a rien à retenir, à sauver de ce tome ! Bon, hormis peut-être James Gordon Jr., absolument délicieux et savoureux ! Cette nouvelle vision du Soldat Inconnu est scandaleuse ! Le personnage de Warrant n’est qu’une vaste blague ! Ne parlons pas de Kamo, une caricature, un melting pot de mauvaises idées ! Le scénariste, Matt Kindt nous abreuve de mauvaises idées, de mauvais personnages. Il se dit qu’un truc pourrait être intéressant et il nous le pond sans réfléchir ! Il se dit que tel personnage pourrait être amusant d’inclure et il nous le propose à sa sauce… Du grand n’importe quoi. On dirait un scénario d’un mauvais film où l’on cherche la surenchère et empilons les scènes tape-à-l’œil sans lien entre elles…

Graphiquement, heureusement, c’est moins pire. Surtout grâce à la présence de Patrick Zircher sur quelques chapitres ! Pour le reste, huit autres dessinateurs sont crédités sur ce tome, et comme depuis le début on reste, on oscille entre du moyen, du quelconque et du mauvais.

Bref, cette série Suicide Squad ne restera pas dans les annales, dans les mémoires. Un titre mauvais, qui a aucun moment n’a su m’intéresser, me proposer quelque chose de plaisant à lire. Oublions vite tout ça…
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Sasahara
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Sasahara »

Bien d'accord, les 2 derniers tomes étaient très mauvais (je les ai revendus) celui-ci en particulier. Que vient faire Power GIrl là-dedans ? Je l'adore mais elle est toujours honteusement mal employée.

Dommage qu'Urban n'aie pas publié News Suicide Squad, il me semble qu'il y avait du mieux (j'ai lu le tome 1 en vo)
Quand à la version Rebirth pas lue: j'attends la revue qui sort le 7 juillet.
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Zpard311
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Zpard311 »

Sasahara a écrit : 29 juin 2017 15:17 Bien d'accord, les 2 derniers tomes étaient très mauvais (je les ai revendus) celui-ci en particulier. Que vient faire Power GIrl là-dedans ? Je l'adore mais elle est toujours honteusement mal employée.

Dommage qu'Urban n'aie pas publié News Suicide Squad, il me semble qu'il y avait du mieux (j'ai lu le tome 1 en vo)
Quand à la version Rebirth pas lue: j'attends la revue qui sort le 7 juillet.
Qu'attendez-vous d'une série Suicide Squad en comics ?
Pourquoi vous trouvez ça vide ?
Je dis pas que c'est excellent, mais c'est quand même du bon divertissement.
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Sasahara
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Sasahara »

Pour ma part je répondrais tout simplement que j'attends qu'il y ait un scénario !

Je veux dire un scénario construit, pensé et pas une suite d'actions (aussi divertissantes soient-elles) qui se succèdent n'importe comment (les 2 derniers albums parus de la série New52 m'ont vraiment donné cette impression que c'était improvisé au fur et à mesure... bon ça se sentait déjà un peu dans les 2 premiers mais ça passait encore) Ce n'est pas ça un bon scénario. Sans oublier tant qu'à faire: se soucier de faire vivre les personnages et respecter un minimum syndical de vraisemblance pour qu'on puisse croire lire une série d'action à peu près plausible et non une série comique ou du moins portée sur le délire et les outrances (genre comme Harley quinn, la série)

...enfin bref pour voir à quel point c'est mal fichu il suffit de lire autre chose à côté: la Suicide Squad de John Ostrander, évidemment, mais la comparaison est assez accablante, prenons un autre exemple: les Secret Six de Gail Simone, avec un postulat très voisin (des missions, une équipe hétéroclite, des personnages très improbables (comme Ragdoll) Or l'action ne donne jamais l'impression ni d'être gratuite ni de partir dans tous les sens, tant l'ensemble est tenu et mène toujours quelque part, et en creusant vraiment les personnages, dont on apprend quelque chose à chaque histoire. Je ne peux pas être plus précis il faut le lire pour s'en rendre compte. Si ça ne te fait pas le même effet, c'est peut-être que ça vient de moi!
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Zpard311
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Re: [UC : DC Renaissance] Suicide Squad

Message par Zpard311 »

Malheureusement, je n'ai pas ton expérience en lecture, surtout sur l’escadron Suicide. Par conséquent, il est difficile pour moi de comparer le scénario.
Je ne vais pas te contredire, ce n'est vraiment pas fou comme scénario et on sait pas où on va.
Mais malgré tout, j'ai passé un très bon moment de lecture. C'est un bon divertissement comme je l'ai dit.

Peut-être je prendrais plus de plaisir à lire Deadshot et les secret six, mais en attendant d'avoir une lecture de meilleur qualité sous la main, je me suis contenté de SQ New 52 et j'ai adoré.
Surtout le personnage de Deadshot et D'Harley. D'ailleurs cette dernière est moins écervelée ici que dans sa propre série.
A choisir, je préfère, de loin, SQ au titre d'HQ.
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