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[UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 08 mai 2021 19:23
par Resendes


Mais OUIIIIIIIIIII

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 09 mai 2021 19:56
par Weapon X
C'est un comics récent ou il fait partie des #300 ?

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 09 mai 2021 19:59
par Bonni
Weapon X a écrit : 09 mai 2021 19:56 C'est un comics récent ou il fait partie des #300 ?
Il est sorti fin 2020 de mémoire

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 09 mai 2021 21:49
par Resendes
Effectivement et en 3 numéros.

Tom Taylor + Constantine c'est forcément bon ♥

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 09 mai 2021 23:04
par Weapon X
Resendes a écrit : 09 mai 2021 21:49 Effectivement et en 3 numéros.

Tom Taylor + Constantine c'est forcément bon ♥

Avec Constantine, c'est toujours bon ;)
Je me suis déjà dévoré les intégrales d'Urban, donc j'attend celui de pied ferme ^^

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 13 sept. 2021 22:28
par Sasahara
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Je viens de lire cet album court (3 chapitres) et agréables à lire. C'est très sympa, comme un hommage très bien fait de Taylor à l'univers de Constantine, Londres, des crimes bizarres, la magie, les démons, le Diable, Chas... mais bon ça laisse un peu sur sa faim.

C'est surtout sans surprises en fait, c'est ça le problème: quand on a déjà lu pas mal de Hellblazer, on a déjà vu les thèmes traités plusieurs fois par d'autres et souvent bien mieux. C'est un bonne lecture pour le grand public qui ne connaitrait pas le perso, pour lui faire découvrir son univers; mais pour les habitués c'est vraiment un peu léger.

Et dans l'air du temps aussi: le couplet anti-capitaliste, et surtout l'insistance répétée sur le fait que John est gay, ce qui n'apparaissait nullement chez d'autres auteurs, quand certains suggéraient simplement qu'il devait être bi, mais là c'est le message LGBT avec ses gros sabots... ça me paraissait pas si appuyé quand Tom Taylor écrivait Alan Scott dans Earth-2, mais c'était il y a dix ans déjà, le contexte a changé et pas en faveur de la subtilité!

En résumé je me devais de le l'acheter car il n'est pas très cher et que c'est un bel objet de la collection Black label mais cet album ne dispense pas de lire l'autre sortie Hellblazer du moment (la série de Simon Spurrier) même si c'est une autre catégorie de prix!

Re: [UC : DC BLACK LABEL] Hellblazer Rise & Fall

Posté : 17 sept. 2021 04:41
par Strax
Pas grand-chose à rajouter si ce n'est que j'ai pas trouvé ce titre agréable à la lecture. Y a rien d'original à part peut-être proposer une fin avec un John plus joyeux, mais vu le contexte de cette fin, niveau cynisme ça reste contant(ine) avec l'ambiance habituelle de la série. C'est déjà ça.
Mais quand même, perdre son temps à nous montrer John et Lucifer se galocher plutôt que s'attarder sur un gamin qui a été pendant trente ans possédé par un démon, qui n'a pas vieilli d'un jour, certainement traumatisé à vie et qui a de plus vu son père se faire tuer sous ses yeux, mais c'est pô grave parce qu'il est riche et qu'il lui reste des membres de sa famille, c'est un choix... qui ne m'étonne plus venant du Tom Taylor actuel, en fait.

Je voulais lui laisser le bénéfice du doute avec ce titre, et aussi parce que j'aime Hellblazer, mais là c'est plus possible, je vais éviter tout titre écrit par le bonhomme, du moins à partir de 2019 parce que j'ai l'impression que le gars a atteint un nouveau style d'écriture qui ne m'intéresse absolument pas. C'est tellement pas subtil et matraqué pour bien qu'on comprenne, c'est pas du Hellblazer, c'est la version CW de Hellblazer, c'est peu profond et tellement surligné. Cette réplique de John : "les milliardaires sont les personnes les plus méprisables de la planète"... AU SECOURS.

Le passage aussi court que foireux et incompréhensible, où John va voir son père, un passage qui aurait dû être développé, mais que Taylor abrège de la façon la plus grossière et Jean Foutre au possible... Et donc toute l'histoire autour du pote gosse de riche de John, tout autant traitée par-dessus la jambe. Bref, tous les éléments qui, bien développés, ou plutôt développés tout court, auraient donné une bonne histoire de Hellblazer, sont traités par-dessus la jambe et avec légèreté parce que Taylor s'est dit que c'était bien plus intéressant de tailler un costard à la lie de l'humanité, les gros richards (sic), et de rappeler à chaque chapitre que John Constantine aime bien aussi se taper des gonzes de temps en temps.

Un titre qui a au moins la décence de se lire rapidement et de se faire oublier tout aussi vite, c'est bien le minimum qu'on puisse lui demander, au vu de sa médiocrité.